La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Emile Friant / Somogy Editions d’Art – Musée des Beaux-arts de Nancy

Jeudi, 1 Décembre, 2016 - 10:36

Le dernier Naturaliste ?

Voici le catalogue de l’exposition présentée au musée des Beaux-Arts de Nancy, jusqu’au 27 février 2017, sous le parrainage de l’Académie des Beaux-Arts (Institut de France) et de l’Académie Stanislas, dont le commissariat fut assuré par Michèle Leinen, documentaliste, Valérie Thomas, directrice du musée de l’Ecole de Nancy, et, Charles Villeneuve de Janti, directeur du musée des beaux-arts de Nancy. Avec une biographie d’Emile Friant (1863-1932). Emile Friant fut élève de Cabanel à l’école des Beaux-Arts de Paris. Il participa au Salon des Artistes Français. En 1883, il fut second Grand Prix de Rome. A cette époque les écoles des Beaux-Arts à Paris, à Lyon, etc, fournissaient de nombreux Prix de Rome. Il y a un parallèle à faire entre Emile Friant, et le Lyonnais, Tony Tollet. Comme lui, Emile Friant fut attiré par l’Orientalisme. Il découvrit la Tunisie, en 1887. Puis, il voyagea en Algérie, et exposa, en 1901, à la Société Nationale des Beaux-Arts. Le parcours d’Emile Friant correspond parfaitement à celui des artistes de sa génération, ceux qui furent injustement démolis par les stupides tenants d’une modernité sectaire. Cet ouvrage est admirablement illustré par de nombreuses œuvres. Une découverte très intéressante. Broché, couverture à rabats. 207 p. Format : 28 x 22 cm. 28€. Musée des Beaux-Arts de Nancy, jusqu’au 27 février 2017