La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Homme Blanc Homme Noir / Favre

Mardi, 17 Novembre, 2015 - 21:22

Colons, vous avez-dit colons ?

Impressions d’Afrique. Il s’agit du catalogue de l’exposition présentée à la Fondation Pierre Arnaud, à Lens, jusqu’au 25 octobre 2015, et dont les commissaires étaient : Alain Weill, Nicolas Menut, et Christophe Flubacher, professeur d’histoire de l’art, journaliste, conférencier, et directeur scientifique de la Fondation Arnaud à Lens (Suisse). A l’heure, Où, les Français découvraient la peinture africaine, à la Fondation Cartier, à Paris, la Fondation Arnaud s’interrogeait sur l’existence d’un « art colon », sur les échanges entre colonisés et colonisateurs. Le prestige de l’uniforme, les chefs médaillés, les Africanistes, une Afrique noire et non pas blanche, les maîtres flous, missionnaires, merveilleux objets, masques de l’homme blanc, l’après colonialisme ironie et consumérisme, etc. Cet ouvrage constituera un excellent cadeau pour les fêtes de fin d’année, à l’intention de ceux qui souhaitent des informations, pour échapper au cortège des fabricants de faux tableaux, et surtout de tristes répliques de sculptures africaines. Admirablement documenté. Broché, couverture à très larges rabats. 304 p. Format : 24 x 18 cm. 28€