A la télévision, le pingouin joue les matamores, mais, les Français n'en veulent plus...

Vendredi, 9 Septembre, 2016 - 11:33

Le pingouin pose en donneur de leçons de démocratie, encore un échec médiatique...

Le pingouin est à se tordre. L'avez-vous vu rire ? Plus ridicule, impossible. On dirait une courge noire d'Halloween ! Déplorable ! Pour séduire l'électeur, il a réquisitionné, Julie Gayet qui n'est pas là par amour, ne vous faites pas d'illusion. Julie Gayet est une arriviste. Juste au moment du départ de la destructrice de vaisselle nationale, Valérie Trierweiler, Julie Gayet fut nommée à la direction de la Villa Médicis, ce qui fit un scandale de plus dans le curriculum du mou pingouin. Revenue à ses affaires, elle est productrice de cinéma, Julie Gayet se remplit les poches de subventions. Vous ne le saviez peut-être pas, mais, le cinéma français par l'intermédiaire du CNC, est un des plus importants pourvoyeurs de subventions du monde. Des milliards, dans lesquels, ces moches messieurs, et ces vilaines dames piochent avec délectation. Avec ça, ils peuvent vivre dans des appartements princiers, et, rouler en voiture avec chauffeur, et à vos frais, mes bons amis. Les subventions, je suis contre. Pas un sou, en amont. Il existe aussi des aides pour l'écriture des scénari. Au début, c'était bien. Il y avait peu de candidats. Désormais, c'est devenu un système, une habitude avec tous ses excès. Rien de pire. Une fois que l'œuvre est produite, je veux bien, mais pas avant. Julie Gayet profite à fond de tous ces procédés. Cette politique a permis la création de sociétés de production dont les propriétaires, à de rares occasions, vivent comme des nababs. Julie Gayet marche à fond dans les combines. C'est plus facile, quand on a les bonnes relations. C'est plus simple avec un compagnon, président de la République. Qu'en pensez-vous ? En contrepartie, Hollande exhibe Gayet. Au cas, où ? Mais, hélas, les Français ne sont pas dupes de l'esbroufe hollandoise. Julie Gayet est maintenant une des actrices les plus méprisées de France. Et, ce n'est pas fini. Son triste sourire ne convainc plus personne. Hollande, lui, espère toujours se présenter à la prochaine élection présidentielle. Sa trouille de Sarkozy le pousse à lui balancer dans les pattes, la mystérieuse affaire Bygmalion. On se marre. Le jour du début du procès Cahuzac, selon lui, soutien financier illégal de Michel Rocard. On en apprend tous les jours. Quel cirque ! Un sondage démontre que dans tous les cas de figure la gauche serait absente du second tour. Alors, le noirot pingouin qui se croit démocrate, mais, règne à coups de diktats, aurait fabriqué toutes ces magouilles, ces dénonciations, ces menaces, pour rien, pour disparaître, au soir du premier tour. Quelle gabegie ! Hollande peut faire de la lutte contre les djihadistes sa priorité politique, les Français s'en fichent. Ils réclament moins d'impôts et moins de chômage. Voici, leurs priorités absolues. Qu'Hollande plastronne en donneur de leçon de campagne électorale, ils rigolent. Il n'avait pas de programme. Il a fait le lit du patronat. Il était entouré par des voyous, etc, etc. Quant à la guerre, c'est Hollande qui l'a introduite à cette échelle, sur notre territoire. Oui, c'est Hollande, qui est en partie responsable des massacres odieux du Bataclan, et de la Promenade des Anglais. A quel moment, la presse dira-t-elle la vérité ? Hollande devra être jugé. Il pourra gesticuler, mais, il devra répondre devant le Conseil de guerre, pour ses décisions, et ses déclarations mettant en danger la nation tout entière. Regardez, les irresponsables de Charlie Hebdo qui caricaturent les victimes du tremblement de terre italien. Non ! Tout n'est pas permis. Ils méritent une sanction ! Quand viendra-t-elle ? Bernard Cazeneuve, et François Hollande doivent traduire l'affaire devant la Justice. Macron, le micron, à tête de mitron devancerait Hollande dans tous les cas. Nous n'avons pas fini de rire. Chaque sortie d'Hollande est un spectacle de cirque, où, le ridicule et misérable Pipeau embrasse, en bavouillant, une monstrueuse Colombine, sous les applaudissements frénétiques d'un sosie de Valentin le Désossé, à tête de Boris Vian...