A Lyon, les membres du barreau partent en vacances…

Mardi, 23 Juillet, 2013 - 16:02

Me Christophe Cottet-Bretonnier assure sa part d’heures complémentaires…

Un mystère. Pourquoi Me Christophe Cottet-Bretonnier, ne quitte-t-il jamais son anorak et son foulard?

Connaissez-vous Me Christophe Cottet-Bretonnier ? Non ? Et pourtant, je fais tout mon possible, pour entretenir une reconnaissance certaine de ses talents divers et multiples… Oui ! Me Cottet-Bretonnier est un actif. Jamais, il ne laissera sa part. Dans aucun domaine. Il a connu une heure de gloire, peut-être deux, en défendant la cause perdue d’avance de Toni Musulin, avec son confrère Me Hervé Banbanaste. Certains, lui reprochent encore d’avoir accepté de jouer son propre rôle, dans l’excellent film, où François Cluzet fit une composition remarquable du plus célèbre des convoyeurs de fonds. Mais, Me Cottet-Bretonnier est au-dessus des sottes polémiques. Il a l’habitude, avec un cran absolu, d’entreprendre avec délectation, tout ce que la vie lyonnaise réprouve, depuis des siècles. Ainsi, ne dit-on pas qu’à Lyon, il faut être discret ? J’ai vu, pendant la soirée de présentation de cet excellent film dédié au curieux destin de Toni Musullin, Me Cottet-Bretonnier accompagné de deux superbes mannequins dignes de figurer dans Gala, ou dans Voici. Vous avez dit torride. Même dans Lyon People, on n’ose pas en photographier de semblables. Me Christophe Cottet-Bretonnier brave le quand dira t’on !... Sur ce sujet, il est très déterminé. C’est un cherchant. Rien ne pourrait entraver son aptitude, sa quête d’une véritable perfection. Ses recherches studieuses sont parfois couronnées de succès. Nul n’a oublié à Lyon, ce Prix qu’il obtint à Nantes, il y a quelques années. Le jury, auquel appartenait paraît-il, l’acteur Michel Blanc le lui décerna à l’unanimité, et avec ses compliments. Cette distinction fit des jaloux. Non ! rien n’arrête Me Cottet-Bretonnier en matière de formation. Aucun Colloque ne le rebute… Il est si désireux d’apprendre… Dame, il eut de bons maîtres… Voici pourquoi, il est désormais considéré, dans notre bonne ville de Lyon, comme un des futurs ténors du barreau, où s’inscrivent déjà quelques nobles figures. Il y a quelques semaines, Me Cottet-Bretonnier était en voyage d’études, avec son excellent confrère, parfois surprenant, mais qui connaît son droit sur le bout de « la barre », Me Laurent Banbanaste. Excusez-moi, cette allusion peut-être trop inspirée, par la vie professionnelle. Donc, tous deux étaient à Marseille, ville au passé presque trop lisse, où sévirent toute la famille Guérini, Gaston Deferre notable chef de la pègre socialisante, Bernard Tapie cible idéale, Eugène Alexandre Gaudin dit le prudent, etc. Marseille, ville paisible, où il était possible pour ces deux esprits ouverts, d’apprendre encore beaucoup, sur les enjeux d’une profession qui leur apporte tant de joies. Me Laurent Banbanaste, homme sans équivoque, conserve un souvenir joyeux de Massilia, en une époque récente, où la Météo ne nous menaçait pas encore des effets de la Canicule. Quelle magnifique expérience!... Je comprends qu’ils fassent l’objet de votre intérêt. Si,vous souhaitez rencontrer le preux, Me Christophe Cottet-Bretonnier, et ses admirables amis, nobles représentants du Barreau de Lyon. Venez déjeuner au restaurant Le Maubert, au 85, rue Moncey-Lyon 3e. Si, ses nombreux appels téléphoniques depuis son I-Phone, le lui permettent, Me Cottet-Bretonnier se fera le plaisir de vous confirmer son objectif premier, celui de vivre, gentiment entouré, dans sa maison du Beaujolais. Vous croiserez peut-être John, inventeur un peu foutraque, comme souvent ses congénères, ou Dominique, séminariste défroqué, ce qui ne l’a pas empêché d’être un avocat reconnu et respecté. Il est possible que vous rencontriez aussi, une autre personnalité estimée, Bruno Vial, surnommé mystérieusement, le Président. Hélas pour vous, vous ne verrez jamais l'ineffable Guy Roger, subtil assemblage des caractéristiques du Pr Nimbus et du Dr Mabuse. Il vient de s'installer à Grenoble. Rendez-vous, dès les premiers jours de septembre, au Maubert, bien entendu… Et, en attendant, bonnes vacances…