Catherine Laborde, adepte forcenée de la Canicule, sabote l'été des français...

Jeudi, 23 Août, 2012 - 09:42

Comme sa sœur Françoise, planquée au Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, Catherine est une excitée congénitale...

Les deux frangines ont des caractères autocratiques. Attention à ne pas leur marcher sur les arpions. Catherine fit scandale pendant sa participation à Fort Boyard, et certains reprochent à Françoise de recourir à des « nègres » pour écrire des livres. Deux harpies cathodiques, mais pas très catholiques. On a froid dans le dos. Catherine a un comportement de maniaque. Sa maladie est apparemment incurable. C'est une détraquée de la Canicule. Chaque année, elle confond été et Canicule. Cet hiver, on s'est gelé. Terrible. Il pleuvait. Il neigeait. Il gelait. Des mois. 7 ou 8 d'affilés. Avant que Catherine affole les foules. Elle aime ça. C'est son bonheur, sa joie. Elle prend du plaisir. Nous voir le moral au plus bas la réjouit. Elle est heureuse devant le malheur des autres. Après tout ce froid, l'été arriva. Bien brièvement. 2 ou 3 jours de grosses chaleurs, et encore, pas sur l'ensemble de la France. Catherine se rua sur son porte-voix : Canicule, Canicule qu'elle a hurlé en tortillant son minuscule popotin sur ses longues cannes de héron errant. La panique a suivi. La foule s'est déchaînée. Et que je te fais boire de l'eau au grands vieillards, des litres tous les jours. Une folie, un traumatisme pour nos malheureux aînés. Rien ne put réfréner le comportement hystérique de Catherine Laborde. Est-elle seulement journaliste ? Sa déontologie est courte. C'est le scoop a tous prix. En août, on a pas grand chose à dire. Alors, la Canicule arrive, et là, une presse bavasseuse s'anime, allumée par Catherine la hâtive, comme il y eut Pépin le bref. Que dire de l'esprit de cette presse suiveuse, sans âme ? Quelques jours plus tard, il pleuvait. La température chutait sur tout le territoire, et les grands vieillards continuaient à boire de l'eau, de l'eau, car on ne sait jamais, l'été n'est pas tout à fait fini. Le croquemitaine Catherine Laborde peut encore ressurgir avec son lot d'invectives et de prophéties désespérantes. Mon Dieu protégez-nous !...