Chirac et ses amis socialistes se sont-ils unis pour chasser Sarkozy du Conseil Constitutionnel ?

Vendredi, 12 Juillet, 2013 - 17:37

Jean-Louis Debré, bras armé de Chirac, était à la manœuvre…

En refusant l’homologation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, le Conseil Constitutionnel a provoqué un séisme très bien organisé. Nicolas Sarkozy, une fois la décision intervenue, a réagi comme à son habitude, par un coup de tête incalculé, à la Zidane. En démissionnant, du Conseil Constitutionnel, il signait son arrêt de mort en politique. C’est fait. La situation n’a pas échappé à François Fillon qui a très bien réagi, en marquant nettement les limites qui le séparent désormais de l’ancien président de la République. Pour réussir cette sorte de coup d’état qui restera, comme exemplaire dans l’Histoire de France, il fallu que Chirac déclenche les hostilités, à l’intérieur du Conseil Constitutionnel, en s’alliant avec les « Fillonistes » et les Socialistes, comme Michel Charasse (élu dans cette institution par le soutien de Sarkozy ). Fou de rage, Nicolas Sarkozy, déjà responsable des malversations incarnées par Jean-François Copé, au moment de l’élection du président de l’UMP, est venu faire un coup d’éclat lundi soir, dans une assemblée générale de l’UMP, pour déclarer qu’il sortait, lui l’homme providentiel, de son retrait, tout en réservant la date de son retour officiel. Quelle bonne blague !... Tout le monde s’en fout… Ce que Sarkozy n’a pas compris, c’est que les Français et les Françaises ne veulent plus de lui. Il n’incarne plus leurs espoirs, face aux folies du couple infernal Hollande Tartandouille et Zéro Ayrault, face à la montée du Front National qui fit élire Hollande Tartandouille, ne l’oublions jamais. Comme, elle est pitoyable cette tentative désespérante des journalistes à la botte du gouvernement, de nous faire croire que Sarkozy a mené les événements dans cette affaire. Cette volonté d’enfumer les Français de la part de cette presse aux ordres, est odieuse. Sarkozy n’a rien maîtrisé. Absolument pas. Sarkozy a subi. Sarkozy est un has been. La meilleure des preuves, c’est qu’il ne s’en rend pas compte. Il croit encore à ses chances. Il est bien le seul avec les nullisimes Lefebvre, Hortefeux et Guaino. Voici sonnée l’heure de la vengeance de Chirac. Le bonheur de Bernard Debré, fillonniste émerite, faisait plaisir à entendre. La récolte s’annonce, la poire Sarkozy est mûre. Récemment cueillie par un François Fillon averti, elle peut maintenant affronter le temps, à sa place dans son panier d’osier, au fin fond des oubliettes de l’Histoire de France. Plus de bling bling. Le peuple français veut retrouver sa sérénité, et pour cela, un homme se dresse, s’élève, celui qu’on attendait pas ou plus. Il n’a pas fini de surprendre par toutes ses réelles qualités que beaucoup ne soupçonnaient pas, attribuant les bienfaits de la politique du dernier quinquennat, à un autre que lui, ce qui était une fondamentale erreur. Nous verrons bientôt, Hollande Tartandouille s’unir au Front National, pour détruire l’image de François Fillon. La légitimité de François Fillon s’épanouira alors sans aucun barrage sarkozien. Un jour viendra, un jour viendra, chantait l’ami Jean Roger Caussimon. Nous savons que l’espérance ne peut, en aucun cas, venir de notre gauche, bien entendu, pas par Hollande Tartandouille, et par Mélanchon, encore moins…