Denis Vaginay sera-t-il chassé de la Fondation Renaud ?

Vendredi, 5 Juin, 2020 - 09:35

Certains héritiers se révoltent…

Depuis son introduction dans l'administration de la Fondation Serge et Jean-Jacques Renaud, Denis Vaginay n'a pas cessé de développer des projets monstrueux, après avoir détruit par une architecture méprisable les choix de Serge et Jean-Jacques Renaud, comme l'escalier central qui permettait d'accéder à la grande salle du rez-de-chaussée, et qui est maintenant odieusement close par du béton. Denis Vaginay, auteur d'un livre où il maudissait l'Ecole lyonnaise de peinture, veut à présent donner un nouveau nom à la Fondation, en ôtant celui des Renaud. Il était temps qu'apparaissent Patrice Renaud, frère de Serge et Jean-Jacques, et ses héritiers, pour protéger les intérêts du Fort de Vaise, qui, avant l'intervention de Serge et Jean-Jacques n'était qu'une ruine. Denis Vaginay, qui fait équipe avec le « faux-expert » de tableaux et de photographies, Damien Voutay, contribua à une gestion désastreuse des fonds de cette institution admirée des Lyonnais. Denis Vaginay aurait même, dans son appétit d'argent, tenté de vendre le château de Trept, où Jean-Jacques Renaud, après avoir mené des travaux de restauration pendant des années, accueillait des festivités, pour alimenter la trésorerie de la fondation qui présentait de merveilleuses expositions : Alice Gaillard, Georges Darodes, Evaristo, Marie-Thérèse Bourrat, Jean-Albert Carlotti, Louis Thomas, Jean Martin, Lyon Cité refuge des singuliers de l'art, Tony Garnier, etc. La famille Renaud aurait, pour se défendre contre les agissements du pseudo-psycholoque, Denis Vaginay et obtenir son éviction du bureau, aurait fait appel à un avocat réputé, spécialiste de l'administration des fondations. Apportons notre soutien à cette courageuse initiative. S'il avait un peu d'honneur, Denis Vaginay aurait du partir. Nous ne comprenons pas son attitude, pas plus que celle de son complice, Damien Voutay, auquel il avait probablement proposé une fonction importante. Amis, soyons vigilants !…