Donald Trump, Hillary Clinton, pitoyable Amérique !...

Lundi, 10 Octobre, 2016 - 11:21

Les pratiques américaines ne sont pas les nôtres...

Donald et Hillary, l'amour vache…

Alors, c'est bien vrai ? Les Etats-Unis sont parvenus à ce degré de nullité dans tous les domaines. C'est bien vrai ? Les démocrates ne disposaient pas d'un meilleur candidat ? Comment, après Barak Obama qui n'a rien réussi, pas même son essai de sécurité sociale, et surtout pas le démantèlement de Guantanamo, l'Amérique démocrate peut-elle soutenir Hillary Clinton ? Quel est ce pays ? Où, réside sa grandeur ? Comment, la presse démocrate et féministe peut-elle apporter son crédit à Hillary Clinton, une femme qui n'a jamais divorcé d'un mari qui demandait à des jeunes femmes de lui pratiquer « une turlute » dans le bureau ovale, symbole désormais souillé, de la détermination des fondateurs des Etats-Unis ? Plus d'une vingtaine, rien qu'à la Maison Blanche ! Oui, comment ? Et, surtout, pourquoi ? Cocue aux yeux du monde entier, Hillary Clinton avait choisi une autre voie. Celle de la vengeance. Pendant des années, Hillary Clinton harcela les malheureuses victimes sexuelles de son mari. N'est ce pas scandaleux ? Pauvres filles deux fois victimes !... Hillary Clinton les menaçait de toutes les plus odieuses manières. Dans l'instant suivant, devant les caméras, Hillary et Bill Clinton s'affichaient avec leur fille en petite famille admirable. Malheureuse Amérique ! De plus, chacun le sait désormais, Hillary Clinton fut impliquée, en tant que responsable politique, dans d'intolérables scandales financiers. On ne peut plus les compter. Elle aurait même détourné de l'argent appartenant à la Fondation Clinton. Vous rendez-vous compte ? Et, la presse démocrate continue à la défendre. Je ne dis pas « presse de Gauche ». Car, aux Etats-Unis la Gauche n'existe pas. Le parti Démocrate n'est pas à Gauche. Nous l'avons vu avec l'élimination de Bernie Sanders. Celui-ci, battu, n'hésita pas à se ranger dans les rangs d'Hillary Clinton, en bafouant sa réputation et la confiance de ses partisans, après l'avoir dénigré violemment pendant des mois. Du grand Guignol ! En France, la presse de Gauche (qui, là, existe vraiment) affiche son aptitude éternelle à la discrimination stalinienne. Une fois encore. Les chaînes d'infos en continu sont réglées sur les mêmes chapelets de litanies anti-Trump, anti-Poutine, anti-Sarkozy, etc. Leurs journalistes n'ont aucune fierté, ce sont des machines, des robots sans cervelle. Il faut voir, comment, ils invitent Patrick Buisson à proférer ses propos injurieux sur Nicolas Sarkozy. Porte ouvertes sur toutes chaînes de radio et de télévision. Le grand nigaud, le sournois et sinistre individu ne peut y croire. Alors, il bave, il crache, il méprise, il diffame. Cette presse indigne : Les chiens, comme elle fut nommée par François Mitterrand, après le suicide de Pierre Bérégovoy, se régalent. Ils en redemandent. Souhaitent-ils vraiment la victoire de François Hollande, ou plutôt, celle de Manuel Valls qui se prépare en coulisses, en avalant quotidiennement de très grosses « couleuvres ». Je voudrais que cette presse vendue relève cette déclaration de Patrick Buisson : j'ai conseillé François Bayrou. Amis, lorsque vous regarderez à la télévision, le traître Bayrou proférer des insanités à l'encontre de Nicolas Sarkozy, rappelez-vous que ce type qui salit le Béarn, et, qui ne représente plus qu'une poignée d'électeurs fut la marionnette de Patrick Buisson. On peut même s'interroger ? N'est-ce pas lui qui recommanda ses services, à Nicolas Sarkozy, puisqu'alors, ils étaient amis, et, se retrouvaient gentiment, chez Jacques Chancel ? Triste Amérique, reflet d'une société à bout de souffle, incapable d'assumer ce leadership interplanétaire qu'elle s'attribua à force de guerres injustes. Le « gendarme du monde » offre dans cette lutte impitoyable entre Trump et Clinton son véritable visage. On ne peut pas dire qu'il nous rassure. Pourtant, contrairement à ce que prétend la presse française inculte, il n'est pas certain, qu'il inquiète l'ensemble des électeurs américains, dans les deux camps !...