Engeance british

Henri Béraud avait raison quand il écrivait : «Faut-il réduire l’Angleterre en esclavage ? ». Que n’a-t-on réussi à contraindre ces éternels profiteurs qui essayèrent tout au long de notre destinée commune de profiter de la moindre opportunité  pour nous exploiter en cherchant toujours à se donner les meilleurs rôles. Les Anglishes ne reculent devant rien. Tout leur est bon. Trafalgar n’est pas un vain mot. Ils sont les rois des mises en scènes délétères et fallacieuses. Il nous est impossible de leur faire confiance. Tout chez eux à notre égard est tromperie. Le général de Gaulle n’avait à leur égard que du mépris. Le Brexit n’est pas le moindre exemple de leur forfaiture. Jamais je n’ai été convaincu par leurs stratagèmes en la circonstance. Ils n’ont jamais cru à l’Europe, elle n’était pour eux qu’une occasion de grappiller quelques émoluments à nos dépens. Il fallait être bien naïfs pour penser le contraire. Les Anglais sont des ogres qui construisirent un empire immense et impitoyable. Ils n’ont pas changé. Ils ne chérissent que leurs intérêts. Le Brexit vient de démontrer qu’il ne fallait rien attendre d’eux. Bien crétins sont ceux qui pensent que le Brexit est une chance pour l’Europe. Il est au contraire un triomphe pour les mesquins amis de Margaret Thatcher et de Tony Blair. Les usagers devront  se plier au remplissage de multitude de documents administratifs. Fini Erasmus. Des centaines d’étudiants sont pénalisés. Les macaques rosbifs imposeront leur tyrannie. Méfiez-vous des témoins aveuglés et pédants…