France 2 et Laurent Delahousse à la tête de la machine à réhabiliter Hollande-Tartandouille…

Mardi, 28 Mai, 2013 - 14:33

Encostumé de première force, Laurent Delahousse est un encarté ordinaire…

On ne peut pas ignorer le physique de bellâtre de Laurent Delahousse. Il en joue exagérément. Les ménagères, de tous les âges, l’adorent. Laurent Delahousse provoque leur extase instantanément. Et, pourquoi pas ? Il y a bien des coquines qui prennent leur pied avec Hollande-Tartandouille… Depuis quelques semaines, les sbires communicants de François-Hollande, qui ne l’oublions jamais, fut élu avec les voix des électeurs du Front National, démontrent une ardeur nouvelle. Tout est permis pour regagner des points. Même, de trafiquer les sondages… Il faut rassurer les Françaises et les Français. Non ! Hollande-Tartandouille n’est pas Pignouf 1er. Il a du mérite. Il lui arrive d’entreprendre et de réussir, nous dit-on. Des ribambelles de conseillers jusqu’ici caché dans les couloirs et les caves des ministères affluent pour porter cette laide parole. Hollande-Tartandouille est un gentil. On ne voudrait pas accabler le sinistre nounours, mais chaque jour qui passe, nous démontre le contraire. La haine lui fuit des yeux. Comment Hollande-Tartandouille a méprisé plus de 500 000 manifestants, pendant et après la journée du 26 mai. Champion du dédain pour le populaire. Fallait le faire. Pour un homme de communication, bravo ! Pour un homme d’humour, bravo ! Je l’avoue, avec sa voix gutturale à la Jacques Doriot, Hollande-Tartandouille m’inquiète, il fait peur aux enfants. Comme croquemitaine, on n’a jamais fait mieux. Tous les jours, nous apprenons une nouvelle sottise. Ainsi, Hollande-Tartandouille aurait prêté sa voix au personnage « mystérieux » de Caton imaginé par le journaliste André Bercoff qui règle ses comptes avec le maladroit locataire de l’Elysée. Nous, la droite disait alors le Françoué. On croit rêver, mais nous vivons un cauchemar climatisé au froid et à l’eau de pluie, chaque jour. France 2 est un des centres de la machine à réhabiliter Hollande-Tartandouille. Laurent Delahousse relève des parallèles entre Sarkozy et Hollande-Tartandouille. Le premier, tous les deux sont des nains. D’accord, mais ce n’est pas avec de tels constats qu’on relèvera le moral des français. Deuxièment, l’un était bling bling, l’autre le devient. Difficile après cela de calmer le cabot mélanchonné. Troisièmement, leur papa ne les aimait pas. Celui de Sarkozy courrait les filles, et le père de Hollande-Tartandouille fut un militant d’extrême-droite et un collaborateur notoire. Peut-être pour cela que Manuel Valls voit des fachos partout ? Pas que des joyeuses nouvelles, tout cela… Laurent Delahousse espère régénérer l’image du « guerrier du Mali » incontestable responsable de l’agression, dont fut victime samedi un jeune militaire du contingent. Après l’affaire Cacahuzac qui a toujours la main dans le zac, Hollande-Tartandouille avait bien besoin du documentaire cucul de Lolo la belle gueule, dont la carrière sera définitivement entachée par cet acte de courtisan, sans scrupule.