François Hollande Tartandouille n’épargne aucune humiliation aux syndicalistes de Florange…

Jeudi, 26 Septembre, 2013 - 21:05

Edouard Martin trahit ses amis, ses compagnons de lutte…

Version Tartandouille avait méprisé le peuple des métallurgistes. Après Laurent Fabius, il avait contribué à la fermeture des hauts-fourneaux lorrains. Hollande Tartandouille traînait ce lâchage, comme un boulet. Car, la France entière ne parvient pas, à lui pardonner ses promesses de politicard roué. Tartandouille est à son plus bas dans les sondages. Les plus favorablement trafiqués lui donnent 21% d’opinions favorables. Mais, en fait, il est très probablement, en dessous de 20%. Tartandouille est à la fois tarte et andouille. Comment voulez-vous qu’il admette son erreur, son stupide entêtement ? Avec ses spécialistes en stratégie, Valérie et Claude (peut-on être plus mal entouré ?), Tartandouille a choisi l’enferrement dans des solutions stupides. Il annonce en tonipétouillant du syphon, que la courbe du chômage va s’inverser, à la fin de l’année 2013. Jamais, le peuple n’a autant souffert en tant de paix. Jamais la récession n’a fait autant de ravage. Et, ce n’est pas fini. Cette posture idiote oblige Tartandouille et ses sbires, à construire des mensonges, de coupables tentatives de manipulation. Ainsi, il rend visite « aux cocus » de Florange. Ces braves gens ont déjà avalé des tonnes de couleuvres empoisonnées. Ils sont encore debout. Mais, dans quel état : trompés, volés, humiliés, ruinés. Si malheureux, qu’ils furent prêts à se ranger du côté du dangereux et snob Sarkozy. Quand on est prêt à croire, aux promesses d’un Sarkozy, comment ne pas prêter foi à celles d’une Tartandouille ? Comment Tartandouille a-t-il pu faire le jeu de l’ignoble Mittal qui empoisonne des générations d’enfants, en Inde ? Oui, comment ? Les patrons ripoux seront tous et toujours des êtres humains indéfendables !... Comment, Hollande Tartandouille a-t-il pu faire confiance à Mittal ? Et son premier ministre, Ayrault, comment a- t-il pu proposer à Florange, un plan contresigné par Mittal ? Pourquoi Tartandouille et Ayrault manifestèrent-ils à cette occasion, un profond mépris à l’égard de Montebourg ? Comment ? Ce gouvernement fait, depuis son ignominieuse installation à l’Elysée, et à Matignon, rigoureusement, n’importe quoi. Et, le cirque continue. Voici que culbuto Tartandouille déclare qu’il montera à Florange. On ne peut pas le croire. D’abord. Tant de déshonneur. Tant de reniements. Français et Françaises, vous avez élu le plus vicieux des gouvernements, depuis la naissance de la République. Retour à Florange. Tartandouille arrive. D’aspect toujours aussi engoncé, ridicule. Heureusement, cet ectoplasme ne représente que lui, et les électeurs du Front National qui contribuèrent à son élection. A Florange, donc, qui était là pour le recevoir ? Vous ne pouvez pas le croire ? Moi, non plus ! Edouard Martin, le fils d’émigrés espagnols. Le même, Edouard Martin qui nous tirait des larmes. Edouard Martin, le même qui vomissait François Hollande. Edouard Martin capable de piétiner les rêves de résistances, de tous ses camarades. Infâme ! Edouard Martin a montré ce jour, un visage indigne, dans le monde du syndicalisme. En serrant la main d’Hollande Tartandouille, non seulement, il est entré dans un déshonneur historique, mais en plus, il a fait la preuve de sa lâcheté. Edouard Martin vient d’agir, comme « un jaune ». Il a voulu légitimer la démarche de Tartandouille qui est impardonnable. Pas comme cela. Pas avec cette légèreté. Pas pour de nouvelles promesses. L’attitude de François Hollande Tartandouille, par rapport aux ouvriers sidérurgistes de Florange, est une des plus abjectes, depuis son élection. Tartandouille détricote ses quenouilles : la Syrie, il se fait ridiculiser par Poutine ; par son incompétence, il provoque la démission de Noël Mamère ; Florange, les syndicalistes le sifflent ; Florange, il ne prévient pas le ministre Montebourg ; et la pose des impôts, deux jours après que les contribuables aient reçu leurs lourdes taxes, etc, etc. L’heure est grave. Contre certains parasites, hélas, rien n’est possible…