François Lenglet, clown blanc ou rose ?...

Lundi, 5 Mai, 2014 - 10:42

A ses débuts, Lenglet faisait rire, entartandouillé, il nous attriste...

Lenglet clown blanc ou rose ?

François Lenglet est vide, comme un type qui a vendu son esprit, contre une courte tribune sur France 2. Pauvre homme. Il avait de l'humour, lorsqu'il sévissait en électron libre sur BFM Radio. Désormais, ses pitreries sont des grimaces, d'ignobles rictus qui font peur aux téléspectateurs de son employeur. La ménagère de cinquante ans, en 2014, est aussi ringarde que celle de 1970 ou de 1990, ne vous trompez pas. Le ménager n'est pas bien plus ouvert. Il est encore plus individualiste, replié sur son téléphone ou son ordinateur portable, alors, les pitreries de François Lenglet, si prévisibles, ne l'intéressent plus du tout. François Lenglet, le bobo et la bobotte s'en moquent, et leurs bobottins aussi, bien entendu. François Lenglet rejoindra bientôt l'ombre du cirque qu'il n'aurait jamais du quitter, si brutalement. Désormais, François Lenglet a l'analyse brève, insipide, et donc, lassante. Il en est souvent ainsi pour les bénis-oui-oui de circonstance. François Lenglet ne sait plus quoi inventer, pour coller à l'actualité de sa nouvelle idole, François Hollande tartandouille. Je ne sais pas pourquoi, depuis quelques temps, je déteste les François, à part mon vénérable ami, François Nadau. Mais, tout de même, ne pourrait-on débaptiser le pape François, qui n'est avant tout qu'un jésuite ? Jésuite, un jour, jésuite toujours. Et les jésuites, sont le plus redoutable aspect de nos sociétés depuis la création de leur ordre. François Lenglet n'a rien d'un pape, pas plus Jean-Paul II que François le généreux. Si, le verbe. L'un, François est un prêcheur absolu, et l'autre, François Lenglet, est un bavard, truqueur d'informations, menteur au nom d'une conception archaïque et réductrice de l'économie française. Dans un pays, ou la majorité des habitants sont des brutes incultes, il n'est pourtant pas bien difficile d'entretenir des illusions de compétence. Et bien, même à ce jeu déprimant, François Lenglet échoue pitoyablement...