Gérard Collomb, par soucis électoral, végétalise Lyon de manière brutale, et ridicule...

Samedi, 14 Septembre, 2019 - 12:02

Gérard Collomb, en autocrate forcené, dépense les deniers publiques, pour plaire aux électeurs écologistes...

David Kimelfeld, le serpent électoralisé, n'aurait fait ni pire, ni mieux. Voici pourquoi, la situation est profondément révoltante. Pour végétaliser Lyon, projet disproportionné en période de crise, et, alors que le Breixit britannique nous menace, inexorablement, Gérard Collomb a décidé, impérieusement, d'investir des centaines de milliers d'euros dans la fabrication de caissons sordides, en sapin. Il a aussi sélectionné une entreprise marchande de fleurs et d'arbres. Les plants sont secs, laids, rabougris. Collomb fait de la végétalisation à hauts prix, mais, de médiocre qualité. Combien coûtent ces fleurettes et ces arbrisseaux ? Ils souffrent de la sécheresse. Ils hurlent leur soif ! 900 000 euros, parait-t-il ? Plus, moins ? Où se cache la vérité sur ces dépenses à la Néron de Gérard Collomb ? Le sinueux Kimelfeld n'aurait pas fait mieux, mais, peut-être pire. Socialiste réfractaire, et finalement démissionnaire, Kimelfeld est largement plus indigne que Collomb ne le fut jamais. Kimelfeld, lui, à un parcours de renégat. D'abord infirmier, socialiste, bien pensant, il exploite désormais les talents de ses confrères, dans une entreprise imaginée par sa volonté. L'argent ! L'argent ! Collomb lui fit une complète confiance, Kimelfeld l'a trahi, sans aucun scrupule. Il se montre même comme un ingrat pathétique, à la façon d'une autre marionnette, Georges Képénékian. On ne peut pas féliciter Gérard Collomb, à propos du choix de ses alliés politiques. Il ne pouvait faire pire. Et que dire, d'un Gérard Collomb militant pour Emmanuel Macron qui, parvenu au sommet, l'installa dans le fauteuil dont il rêvait, au Ministère de l'Intérieur, et qui, honteux de s'être parjuré devant les enquêteurs, dans l'affaire Alexandre Benalla, décida, stupidement, de démissionner, offrant le champ libre à toutes les traîtrises possibles ? Mais, avez-vous vu les caissons de Collomb ? Maurice Chevalier en aurait fait une chanson. A la place de : Avez-vous vu le nouveau chapeau de Zozo ? Il aurait chanté : Avez-vous vu les caissons de Collomb ? Vous aurez dix-huit mois pour en juger de la grossiéreté, et, regarder les petites fleurs, et, les arbustes fanés, pendant que les riverains feront pisser leurs chiens de tous poils, sur cette cupide végétalisation encollombinée. Et pour conclure, Collomb, le tyran, interdit la circulation dans la presqu'île de Lyon, pendant trois samedis. Attention, surveillezle calendrier ! Quel bazar, la Collombinostratégie !... Mes amis, soyez vigilants !...