Hollande et la famille Tartandouille, la suite…

Lundi, 12 Novembre, 2012 - 08:58

Quand, la cousine germaine vient à la rescousse…

La famille Tartandouille continue à se déchirer sous le regard d’une Europe médusée, et d’une presse toujours aux ordres, mais de plus en plus désabusée. Pour cette semaine de la Toussaint, il n’y a pas eu de morts, mais avec les Socialistes le pire demeure toujours possible. Nous n’en finissons pas de voir le Sénat retoquer des projets de lois socialistes à tour de bras. Les cousins du Parti Communiste font la gueule. Fous de rage, ils se révoltent et sèment la zizanie, certainement aiguillonnés par l’incontrôlable fanatique Jean-Luc Mélenchon, le cerveau lisse de la fratrie. Notre génération n’avait jamais connu un tel climat qui donne la frousse à nos aînés. Ils se souviennent, les malheureux, des errances politichiennes de Guy Mollet, et autre Mendès-France. La Constitution de 1958 du Général de Gaulle, si longtemps célébrée, est dangereusement mise à mal. Nous revenons à la République des partis. L’attitude inamicale du Parti Communiste à l’égard de la politique de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault donne des idées aux Verts de Cécile Duflot. Ceux qui se demandent ce qu’elle fait dans la galère Tartandouillienne sont de plus en plus nombreux, à commencer par Jean Vincent Placé, un arriviste forcené qui n’est jamais le dernier. à chercher à se placer !... Bien entendu !... Les dernières quenouilles piégées imaginées par les Tartandouilleurs, sont la ridiculisation du rapport Gallois qui méritait de s’appeler Evariste. Malheureusement, contrairement à Evariste notre Gallois peine à convaincre de l’excellence de sa maîtrise des mathématiques. Dans la tradition amphigourique socialiste, Hollande et ses frères et sœurs ont dépecé les morceaux de son dossier pour en tirer une couenne putride qui voudrait retenir l’amateur de reprise économique, et ne parvient finalement à convaincre personne, pas même l’éternel alibi télévisuel et gauchissant, l’adepte du chauve qui veut, François Lenglet. La seconde tartandouillerie consiste en une étude présentée par Lionel Jospin, nommé l’effaré ou j’me casse ça pue. Les magouilleurs socialistes ne veulent pas retourner se morfondre dans l’opposition, comme le souhaite aujourd’hui, une majorité composée de 64% des électeurs. Alors, ils trichent. Ils tentent de déplacer les lignes à leur avantage. Sinistre tripatouillage qui exhale un remugle épouvantable, digne des retournements de conscience de Jules Ferry ou du spécialiste de la démarche, Aristide Briand. Comment ne pas rire, en voyant Jospin l’inénarrable et inoubliable fuyard, nous donner ses recommandations, comme s’il intimait des ordres, tel un inquiétant général retraité inspiré par les pérégrinations de Bourbaki ? Roselyne Bachelot rompue à toutes les courbettes apporta son pathétique concours à cet exercice de voltigeur, auquel elle apprend à s’accoutumer dans Direct 8, chaîne du groupe Canal +. Et voici notre cousine germaine, Angela Merkel, qui pour se couvrir des déclarations aberrantes de François Hollande sur une hypothétique relance de l’activité économique européenne, commande à des experts allemands un audit de la France. Tentative aux allures désespérantes qui n’a qu’un but, protéger l’Allemagne menacée par les soubresauts de l’Euro, contre les folies Hollando-Ayraultiennes. Tout bouge, tout se transforme, mais alors à une vitesse. La famille Tartandouille s’ennouille même le dimanche. C’est extraordinaire !...