Hollande piétine l'histoire du Tour de France...

Lundi, 20 Juillet, 2015 - 09:36

Hollande pédale lamentablement dans la Grande Boucle, la moindre bosse lui fait une entorse...

François Hollande tente de séduire Jean-Christophe Péraud

Etre sans cœur, hypocrite et manipulateur, François Hollande est venu se prendre les pieds dans les rayons des bicyclettes du Tour de France. Confondant vélo et pédalo, celui qui méprise les Sans-Dents, voulut démontrer sa solidarité avec Jean-Christophe Perrot, et s'embourba dans les tranchées du Nord. Je me souviens de votre chute, à Saint-Etienne, dit ce tricheur goguenard, à Laurent Jalabert. Je suis désolé, c'était dans les Ardennes, répondit le vainqueur de 1995, au sommet de la côte de Mende qui porte désormais son patronyme. Hollande l'enflé, avait encore mal rédigé ses fiches. J'eus honte pour Gérard Holtz, le plus infernal flagorneur de l'histoire de la télévision sportive. Comment, il servit sa soupe électoraliste, à l'ignoble pingouin ? On ne pouvait le croire. Invraisemblable opération de lèche-cul opérée par Gérard Holtz, grand maître de cet exercice infamant. La télé magouilleuse annonce encore 22% d'opinions favorables, pour le bandit aveugle et manchot. Télé vendue. Une preuve de plus. Hollande fut élu avec les voix du Front National, ce qui ne dérange pas Gérard Holtz qui manœuvre en coulisses, pour faire nommer ses amis dans des emplois ministériels. Pendant ce temps, on voyait ressurgir l'ignoble tête de jeux de massacre de Strauss-Kahn. Un véritable cauchemar. L'avoir fait nommer à la tête du FMI est bien une des pires erreurs de Nicolas Sarkozy. Dans un discours de Strauss-Kahn, avez-vous jamais entendu une référence économique ? Rien. Nada. Jamais. Il en est incapable. Strauss-Kahn ne fait que de la politique. Comment dire mieux le peu d'intérêt de ses interventions et recommandations. Personne n'avait besoin de lui pour comprendre qu'Hollande, une fois de plus avait trahi la gauche, et les verts, pour favoriser les options d'Angela Merkel, et des pires conservateurs allemands. Pourtant, une horde de photographes-reporters étaient à ses genoux. Ecoeurant spectacle. Pitoyable système. Et, la gueule de Strauss-Kahn, malgré le maquillage, et les coups de peigne de sa coiffeuse. Peut-être aussi shampouineuse ?... Après ce coup de Jarnac,Valls le bouche-trous tenta de sauver la situation. Sans convaincre, comme à son habitude. Nous n'avons pas fini de jouir des tribulations abracadabrantesques de ces marionnettes admiratrices, pour l'une, de Chirac, et, pour la seconde, du tout petit caporal...