Hollande poursuit son jeu de culbuto déglingué…

Jeudi, 21 Janvier, 2016 - 08:18

Jamais, nous n’avons atteint un tel niveau d’incompétence, et d’inconvenance…

Longtemps, Hollande et ses amis produisaient une bévue par semaine. Désormais, ils se couvrent de honte avec plusieurs sottises hebdomadaires. La maladie est chronique chez les socialistes. “El Connerie” confirme son incompétence. Elle déverse des platitudes. “El Connerie” au ministère du Travail, on croit rêver. Va-t-elle dégager en cas de maniement ministériel ? Le Guen, le dogue infernal, attaque les syndicats qu’il juge trop nombreux. Hollande confirme qu’il est tout, sauf un président normal. Les Français et les Françaises le haïssent. Il est retombé au plus bas dans les sondages. Pendant ce temps, Emmanuel Macron déclare que la vie d’un entrepreneur est plus dure que celle d’un salarié. Fuyant le climat délétère de Matignon, Manuel Valls est à Davos, pour lécher les miches du grand patronat. Hollande va prolonger l’Etat d’urgence. Il ne sait plus que faire, pour dissimuler son absence de programme de politique intérieure. 2 milliards d’euros, pour financer son démoniaque plan d’embauche d’apprentis. Quelle blague ! Il fallait emprunter 50 milliards, pour revaloriser le Smic, et relancer la consommation. On emprunte à longueur d’année, pour financer la présence de nos armées au Mali, et en Centrafrique. Alors, pourquoi ne pas le faire pour un redémarrage de notre activité économique ? Pour augmenter les retraites ? Pourquoi tergiverser ? Hollande aura attendu sa dernière année de mandat, pour produire des solutions au chômage. Malheureusement, elles ne sont pas sérieuses, et de toutes façons, irréalisables en quelques mois. Les primaires au Parti Socialiste semblent désormais incontournables. Nous verrons bientôt le réveil d’Arnaud Montebourg, de Martine Aubry, et de tous les exclus du pouvoir d’Hollande et de Valls. François Hollande replonge dans son projet de modification de la Constitution, à propos de la déchéance de nationalité. La Droite ne doit pas voter favorablement, sous peine d’encourager ce pingouin fada, à cabrioler sur sa banquise nauséabonde…