Ils s’empiffrent !...

Samedi, 23 Décembre, 2017 - 19:32

Macroniens, ou, wauquiériens, ils se goinfrent…

Il faut les voir dans les rayons des hypers-marchés, et surtout, lorsqu’ils passent à la caisse, toujours pressés, stressés, avec des caddies bourrés de produits malsains dont ils se bourreront la panse, seuls, ou en famille. Les plus vieux ne sont pas les plus raisonnables, mêmes et surtout, ceux qui, enfants, connurent la guerre, et ses privations. Rien, ils ne vérifient rien au niveau qualité des produits. Chocolats frelatés parce que bourrés de lecithine de soja, viandes trop grasses, boissons excessivement sucrées, charcuteries de basse qualité, lait de trop longue conservation (aujourd’hui, le prix du véritable lait frais est inaccessible, poissons frais sont gavés de Mercure), fruits importés piqués aux pires conservateurs dans le style Diphényle, etc. Pire que de la merde ! Mais, à crever. Le monde est empoisonné. Les surgelés leur donnent la chiasse. Ils pourraient tout aussi bien bouffer aux bords de leur cuvette de chiottes, ils feraient moins de chemin à pied. Ils font liquide. Les pires ce sont les jeunes, les pseudos exemples des nouvelles générations. Ils absorbent n’importe quoi, en courant, des chips, des biscuits, des bières, du salami bourré de nitrate, que des ersatz débordant d’infections chimiques, etc. Ils font, tout à la fois, peur et pitié. Ils ne réagissent devant rien. Ils pardonnent à l’ignoble Hollande. Ils crurent que le catalan valsiste était crédible. Ils ont voté pour Macron, sans discernement, sans répondre à cette question élémentaire : Comment, un salopard « politichien » qui a trahi tous ses amis, pourrait-il devenir un chef d’état, honnête et généreux ? Ce serait le miracle de Noël ! Les femmes ne sont pas meilleures, ou moins aveuglées. Elles s’empiffrent aussi. Elles nagent dans les bourrelets. Elles grossissent encore avec des régimes menteurs qui envahissent les écrans de télé. Tous incultes, asservis, et dupés, ils vont s’empiffrer en coeur. A tous ces estomacs avides, toutes ces gorges insatisfaites, toutes ces bouches insatiables, je souhaite n’ayant pas réussi à contribuer à les sauver de la malbouffe de continuer à s’empoisonner dans la joie, et la bonne humeur.