Jacques Attali, sur I télé, le faux gourou avait la goutte au nez...

Mercredi, 17 Décembre, 2014 - 09:45

Jacques Attali, plus que jamais, dernier rempart de la Gauche, avant l'inévitable précipice.

Très élégant Attali ne se départit jamais de sa goutte au nez

Jacques Attali est un des plus roués conseillers politiques français, depuis qu'il accepta sans honte, d'associer son nom à celui du porteur de francisque pétainiste, ami de René Bousquet, le fourbe François Mitterrand. Attali publie un livre chez Fayard « Devenir soi ». Attali utilise un terme, dont il est gourmand : les résignés-réclamants, à propos de ceux qui bénéficient de soutien comme l'allocation chômage. Quel mépris, de la part de ce très discutable personnage qui perdit sa place à la tête de la Banque Européenne, dans des circonstances très suspectes. Oui, quel mépris, mais dans l'instant tout est permis. Les pires filous jouent les donneurs de leçons dans les médias gourmands de mystifications. Cette formule attalilienne est aussi infamante que celle d'Hollande, à propos des « Sans-dents ». Attali rêve d'un débat avec Marine Le Pen. Une planche pourrie face à un bâton merdeux. Pourquoi pas ? Un duel bien dans le climat de notre époque. A Paris, Attali multiplie les dîners mondains, profitant des besoins de communication du pingouin malfaisant. Tous les jours, une décision gouvernementale maladroite. Tous les jours, une publication vient la démentir. Ségolène Royal, Le Foll furent des marionnettes patentées, pour annoncer ces médiocres manœuvres. Leurs images sont détruites. Alors, on ressort la gigolette Attali, auteur du plus amphigourique rapport de l'histoire du monde. La situation dans le pays est si désespérée par les tribulations du pingouin furieux qu'Attali est célébré, comme « l'autre président » à la une du journal Libération, administré par un indécrottable socialiste, Pierre Bergé. Les Français et les Françaises ne gagnent pas au change. C'est tomber d'un pilori pour souffrir le supplice chinois. 100 000 exemplaires vendus, tant mieux pour l'éditeur. Mais, ces 100 000 lecteurs correspondent-ils aux derniers 100 000 derniers adhérents du Parti Socialiste ? Comme par hasard. Attali, qui comme tous les gros pisseurs de copie use de « nègres » prévoit d'autres livres. Nous n'en doutions pas. Attali apparaît comme un recours, aux déçus du Socialisme, méprisés par Hollande et Valls. Fini les allégeances dégradantes. Nicolas Sarkozy, ou tout autre élu politique de Droite, doivent écarter toute admiration réelle ou feinte, pour celui qui incarne la pire des aptitudes à toutes compromissions. L'heure n'est plus à la complaisance électoraliste. Attali avait la goutte au nez. Comme, il était répugnant... Dieu voulait-il nous montrer son véritable, et monstrueux visage ?...