Laurent Wauquiez victime des acteurs de l'économie...

Lundi, 28 Septembre, 2015 - 12:00

A Lyon, les Francs-Maçons exercent plus que jamais, un pouvoir nuisible ?...

Oui, la preuve ?... Le dernier numéro de cette revue mensuelle qui ne survit que parce qu'elle louvoie dans le marigo local. Laurent Wauquiez, écrivent-ils à la une : le dynamiteur... Ils font un heureux, Jean-Jacques Queyranne, donné pitoyablement bas dans les sondages, pour les résultats des proches élections régionales. Le dynamiteur ? Ce titre est assassin dans une ville, depuis toujours, nourrie de secrets, et de non-dits. Ah ! Elle est bien loin l'indépendance des journalistes ! Qu'il est mal fait ce magazine ! Comment, après avoir titré sur Laurent Wauquiez, poursuivre en page 3, sur le navigateur, Michel Desjoyaux ? Combien de Lyonnais sont passionnés par Desjoyaux, au point d'acheter une revue à 9,50€ ? Les ventes baissent. La presse papier souffre, surtout, lorsqu'elle est conçue par des amateurs. Si, le texte de Denis Lafay contre Laurent Wauquiez est partisan, les photographies de Laurent Cerino sont caricaturales. Mais, qui est encore intéressé par ce genre d'articles ? Pas grand monde ! Qui, peut encore croire que Michel Barnier suscite des regrets auprès des électeurs ? Chez les Savoyards, peut-être ? Et encore ? Chez ses quelques amis, sûrement, mais, si peu... On sait bien qu'en politique le mot amitié n'a pas de sens. Georges Clemenceau n'en avait qu'un, le député, Stephen Pichon. Il le mettait régulièrement à contribution, à l'Assemblée Nationale. Peut-on reprocher, à Laurent Wauquiez, d'avoir compris cette situation nauséeuse ? Que vaut la parole de Chantal Jouanno qui fit l'apologie de Sarkozy, pour devenir ministre, avant de lui tirer dessus. Que valait la parole de l'épouvantable marionnette centriste qu'était Jacques Barrot ? Pas grand-chose... Quelle caution viable apporte le robot-businessman, Bruno Bonnell ? Des cautions, il en a déjà bien besoin, pour survivre dans ses affaires, et pourtant, il a toujours choisi la facilité. Comme, d'être l'ami de Gérard Collomb. Rien de plus facile. Il suffit de flatter Gégé. Mais, rapidement, on se lasse... Gérard Collomb pollue profondément l'atmosphère politique lyonnaise. Homme de compromis, infamant pour les centristes, l'avenir dira un jour, à quel point, il fut l'homme des compromissions. Dans notre nouvelle région, le Front National n'a aucune chance. Laurent Wauquiez démontrera ce que chacun sait, et, ce que l'immonde, François Hollande, et le parti socialiste voudraient cacher aux électeurs : la droite républicaine incarnera la légitimé républicaine, et remportera inévitablement, les élections régionales. Non, le Front National de la famille Le Pen ne sera jamais un parti, comme les autres !... Je ne suis pas étonné de constater cette attitude de Denis Lafay, habitué à toutes les roueries « politichiennes », et abyssal donneur de leçons. Une chose est certaine. Laurent Wauquiez eut tort de s'afficher aux côtés de Collomb et de Queyranne, pour le sinistre anniversaire du plumitif, Gérard Angel (un autre gégé, mais admirateur de Minute). Il entretint l'image d'un monde politique constitué de copains, et de coquins. La démonstration que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, et même, à sous-entendre...