Le comédien, François Berléand déteste les gilets jaunes...

Dimanche, 10 Février, 2019 - 12:58

Moi aussi, et comme François Berléand, depuis le premier jour...

  Les leaders des gilets jaunes sont dans leur majorité des fascistes de gauche, comme de droite, soutenus par Marine Le Pen, et Jean-Luc Mélenchon. Ils forment désormais l'immense majorité des cortèges répartis, le samedi, sur tout le pays qui viennent pour casser des vitrines, et brutaliser les forces de l'ordre. François Berléand est révolté par l'entêtement des gilets jaunes, pour lesquels, aucune réponse du président de la République n'est satisfaisante. Nous partageons sa révolte. Deux raisons à la longueur de la crise des gilets jaunes, les regrets électoraux de Le Pen et Mélenchon, et, la violence des casseurs souvent venus des banlieues, pour se venger. Combien, coûtent à la France les manifestations brutales des gilets jaunes ? Combien, pour un hélicoptère qui tourne au-dessus des individus les plus violents, pendant des heures, comme samedi après-midi, à Lyon ? Combien, pour tous les hélicoptères réquisitionnés sur l'ensemble du territoire, pour les canons à eau, pour les flashball, etc. Quelle perte pour l'économie française, pour les commerçants, pour les clients ? Il faut appliquer, rigoureusement, la nouvelle loi anti-casseurs ! Il est indispensable d'interdire les manifestations, dès la fin des parcours autorisés, et, d'arrêter tous les fauteurs de troubles, sans aucune exception. Le retour de la paix sociale est à ce prix. Christophe Castaner a raison, il faut que les violences cessent. Alors, qu'attend-il ? Il doit prendre ces mesures, dès samedi prochain ! Halte au laxisme ! Justifié à ses débuts, sur certains points, le discours des gilets jaunes ne contient plus rien que la volonté des extrémistes d'affaiblir le pouvoir républicain, selon une stratégie mise en place, depuis longtemps, qui permit la défaite de Nicolas Sarkozy, et de François Fillon. François Hollande, le bricolo, fut élu avec les voix des électeurs de Marine Le Pen. Nous avons vu le déplorable usage qu'il fit du pouvoir en creusant notre dette, en vendant 24 rafales à l'Egypte qui ne payera jamais, en mettant en place un découpage absurde de la Nation en régions ingérables, en prononçant des mots odieux sur les « sans-dents ». Ah, il était vilain, le président normal. Non, nous n'avons pas oublié ! Les gilets jaunes n'ont-ils pas ressenti l'immensité des responsabilités de François Hollande, dans leur malaise ? Il faut mettre rapidement un terme au fascisme renaissant !... Amis, il n'est pas encore trop tard !...