Les météorologistes exaltées ont réussi à tuer notre été...

Mardi, 27 Août, 2019 - 11:57

Evelyne Dhéliat, Alexandra Blanc, Chloé Nabédian, Anaïs Baydemir sont les tueuses de l'été 2019...

Elles chantèrent la même chanson contre la moindre chaleur. La canicule fut leur apothéose. Combien de temps dura la canicule ? Quatre jours ? Cinq jours ? Non ! Trois jours ! Tout le monde n'a pas connu des températures de plus de 40 degrés. Le Finistère, la Bretagne, le Nord ajoutèrent la froidure à la sécheresse qui n'est pas finie. La durée de la canicule est essentielle. C'est la répétition qui fait le danger, les nuits trop chaudes, particulièrement. Poussés par les messages stressants d'Evelyne Dhéliat et de ses complices, les jeunes arrachaient les pompes à incendie, pour se rafraîchir à la désapprobation des pompiers écoeurés par tant de mépris, pour ces éléments sécuritaires. Finalement, la canicule laissa la place à la pluie, pendant que nos vieux continuaient à s'ennuyer terriblement, à moitié noyés sous les vagues d'eau minérale, dans leurs salles aseptisées, tristes ariquariums, reflets de l'impuissance de notre système. Mais, à qui profite la canicule ? Quels sont les profits perçus par les marchands de brumatiseurs, de ventilateurs, de climatiseurs, etc ? Quels intérêts se dissimulent derrière les piaillements de la volière météorologique ? Depuis la fin de la canicule, il fait frais sur l'ensemble du territoire, à part, bien entendu sur le Sud-Est, et, la Corse. Jugeant, peut-être, qu'elles avaient franchi, irresponsablement, les frontières du possible, l'infernale Evelyne Dhéliat, et ses camarades : Alexandra Blanc (qui impose les cheveux longs à ses collèges de Cnews), Chloé Nabedian, Anaïs Baydemir, etc, plaident, désormais, pour la présence du soleil qui n'est qu'une manipulation supplémentaire. Hélas, on se pèle encore, un peu partout, le matin en France. La pluie revient, la fin de l'été, et le retour de l'automne. Nous allons vivre de vilains regrets pendant cette rentrée. Amis, soyez vigilants, malgré les préciosités de ces tueuses irresponsables, un peu trop influentes, et donc, toujours dangereuses.