Lettre à Mélanchon, Poutou et Arthaud, les vociférateurs communistes...

Je suis stupéfait de voir comment dans cette campagne présidentielle, les esprits des candidats, à l'exception de François Fillon, furent portés par la haine. Faut-il que le siège suprême de président de la République française soit le miroir de tous les plus médiocres espoirs pour susciter autant de convoitises, et de violence ? Nulle place pour la compassion, la tolérance ! Nul accord entre les candidats pour se protéger des sondeurs et des médias compromis avec le monde de la finance, comme Jean-Jacques Bourdin avec le patron de BFMTV, Patrick Drahi. François Fillon eut entièrement raison de ne pas se soumettre aux exigences antidémocratiques de Bourdin. Pour qui se prend cet histrion inculte, pour croire qu'il peut proposer aux candidats à la présidentielle, un entretien d'embauche. Le général de Gaulle, Georges Pompidou, et même, l'éternel vichyste, Mitterrand lui auraient allègrement botté les miches. Affamé de présence devant les caméras, Cheminade, Asselineau, Dupont-Gnangnan, Le Pen, Hamon, Poutou, Macron, et Arthaud se plièrent tous à cet entretien inutile qui n'apportait rien aux politiques, mais tout, au bonimenteur de foires, Bourdin, le Dourbin quotidien, spécialisé dans le rôle du procureur attentateur aux libertés individuelles républicaines, dans le but unique de permettre à son employeur, Patrick Drahi de vendre un maximum de publicité. Tant d'invectives, tant de menaces pour le sale argent des ventes publicitaires ! Une attitude indigne de nos principes républicains les plus élevés qui déshonore, Patrick Drahi, Bourdin, et ses petits camarades tout autant sans scrupule. A l'écoute des vomisseurs d'insultes bolchéviques, ou, trotskystes que sont Poutou, Arthaud et Mélanchon (Hamon, on n'en parle plus, il est dans le gaz, hanté par la nécessité d'obtenir 5% pour que l'Etat rembourse ses frais de campagne), j'ai pensé à leur recommander deux lectures : d'abord, aux éditions du Rocher « Prisonnière de l'île glacée de Trofimovsk » par Dalia Grinkeviciuté. Il s'agit des mémoires d'une déportée dans les camps sibériens glacés. En 1941, 14 600 lituaniens, sur ordre de Staline (modèle de Pierre Laurent, manipulateur de la marionnette Mélenchon) furent arrachés à leurs foyers pour vivre au-delà du cercle polaire. Les enfants avaient entre six et quatorze ans. Ensuite, ces trois fanatiques pourraient étudier le texte d'Alexandre Skirda « Les anarchistes russes, les soviets et la révolution russe de 1917 » publié chez Spartacus. Ils comprendraient, peut-être, comment les mêmes agressions de la part des anticapitalistes, et des régicides provoqueront toujours des milliers de morts chez les ouvriers et les paysans. En Russie, ils furent assassinés sur ordre de Trotsky, être infâme, pourri d'argent malhonnête, admiré par Poutou et Arthaud. Si seulement, ces utiles lectures faisaient naître un peu de recul dans l'esprit de ces trois oiseaux du malheur, nous pourrions être rassurés. Hélas, il n'en sera rien. Mélanchon, Poutou et Arthaud sont des adeptes de la dictature du prolétariat. Une folie qui permit en Chine, et au Cambodge, des millions d'exécutions d'hommes, de femmes et d'enfants, au nom de principes en tous points semblables à la grammaire communiste dangereuse de Mélanchon, Poutou et Arthaud....Pas de quoi être rassuré !...