Marine Le Pen, voulez-vous vraiment, surfer sur la vague bleue avec une blonde à forte poitrine ?

Les journalistes français jouèrent avec l'ignoble en ces premiers jours de second tour de l'élection présidentielle de 2012. L'Humanité, journal dont on nous rabat les méninges par le fait qu'il fut fondé par Jean Jaurès, s'est comporté, comme le pire des torchons fanatiques de l'époque où Joseph Staline, l'assassin, le sanguinaire communiste, l'Hitler des immensités soviétiques, usait de la délation et de l'exécution au quotidien, en comparant en image de couverture et dans le texte, Nicolas Sarkozy à Philippe Pétain. Le Tout sauf Sarkozy, est une démarche sectaire, qui rappelle de méchants souvenirs partisans. Ces colporteurs d'informations truquées viennent de jouer une partition proche de l'ignoble. Ils ont relayé sans sourciller des théories d'extrême droite. Ils ont fait de la publicité à des manoeuvres de partis fascisants qui prévalaient en France avant la naissance du Front National. Il existe en France, une droite nationaliste qui rêve de ramener au pouvoir des principes qui donnèrent naissance au nazisme d'Hitler et de ses effrayants comparses. J'ai honte de savoir qu'en ce début de XXIe siècle des journalistes français, membres de la rédaction des plus célèbres journaux comme le Nouvel Obs, le Monde, l'Humanité, Libération aient accepté de rapporter les théories fumeuses des nazis qui se terrent encore dans les coulisses du Front National, et dans les groupuscules environnants. Et pourquoi firent-ils cela, ces apprentis sorciers ? Pour soutenir, faire élire François Hollande dont tout nous dit qu'il ne connaît rien au fonctionnement de l'Etat français, de la politique internationale. Un François Hollande détesté par ses fameux amis : Laurent Fabius, Jean-Luc Mélanchon, Arnaud Montebourg, Martine Aubry, etc. qu'il nommera ministres de son gouvernement s'il était calamiteusement élu. Ainsi, ils participèrent à l'effort du Front National pour détruire l'UMP et se substituer à cette organisation démocratique. Quelle épouvantable responsabilité cette presse aux ordres a-t-elle accepté de prendre face aux Français, face à l'histoire ? Méprisable publicité qui contribue à la banalisation de l'inacceptable. Ce lendemain de premier tour de l'élection présidentielle de 2012 demeurera dans notre Histoire, comme la révélation d'une aptitude à la servilité de la presse française que son attitude depuis cinq ans au service de Ségolène Royal, de Martine Aubry, et maintenant de François Hollande laissait présager. Les Français n'adhèrent pas aux thèses contestables du Front National. Et, Maître Collard a révélé la sinistre vérité de sa nature profonde en se joignant aux côtés de Marine Le Pen. Les Français ont manifesté une déception, un désarroi, mais ils ne sont pas pour cela des militants nationalistes ou fascisants ? Marine Le Pen, qui a du sex-appeal, comme sa mère Piérette, et qui en use comme elle, n'est pas propriétaire des voix des électeurs français. J'espère, pour nous tous, que l'avenir me donnera raison.