Michel Havard, pari réussi, il redonne à la Droite et au Centre, une unité exemplaire au plan national...

Mercredi, 19 Mars, 2014 - 10:05

Michel Havard, dans l'amphithéâtre 3000, a démontré qu'il rassemblait autour de très belles idées...

Michel Havard est l'homme de la fraternité, de l'écoute des autres, de l'union des cœurs et des esprits. Il a réussi à sortir la Droite lyonnaise, et même régionale, du gouffre, dans lequel l'avait jetée l'incohérence de Raymond Barre (que dire de l'attitude impitoyablement revancharde de la bardinette Anne-Marie Comparini, soutien éhonté de Gérard Collomb?), et surtout, la malhonnêteté démontrée, puisqu'il fut condamné, de Michel Noir. Après avoir joué la girouette, en début de campagne pour les municipales, Michel Noir a compris qu'il devait exprimer une démarche unitaire, vis-à-vis de Michel Havard, en étant présent avec son épouse, lors des deux derniers meetings de ce dernier. Je l'ai même vu applaudir, avec beaucoup trop de discrétion, mais tout de même. Henri Chabert, à la triste figure, était là, un peu seul dans son coin. Aujourd'hui, et probablement pour longtemps, Michel Havard porte les espoirs de toute une jeunesse, et de toute une ville. La liste de ses colistiers est extraordinairement jeune. Aucune vieille lune n'est présente. Il n'en reste plus qu'une dans notre ville. Elle se trouve dans l'autre camp. Elle se nomme Gérard Collomb, au teint oscillant tristement, du jaune au gris, selon le soleil ou la pluie. Gérard Collomb, tricheur, comme son ami François Hollande tartandouille, est obligé de faire retoucher ses photographies avec le logiciel Photoshop. Pauvre homme, on le plaindrait, s'il n'avait été un redoutable tyran. Qui, écrira un jour les secrets, encore dissimulés, qui agitèrent la mairie de Lyon, sous ses deux premiers mandats ? Le fourbe Gérard Angel? Impossible. Il est trop dépendant des subsides collombins ! Oui, Gérard Collomb fut un autocrate impitoyable. A l'Hôtel-de-Ville, il pique des colères phénoménales. Le personnel municipal vit dans la terreur. Les adjoint se sont enfuis. Jean-Louis Touraine a choisi le fond de la classe, comme un rescapé. Beaucoup d'autres sont partis. Gérard Collomb suscite la haine autour de lui. Souvenons-nous du sort dégradant qu'il réserva aux élus Verts : Etienne Tête, et Nathalie Perrin-Gilbert. Il est impossible d'être plus poutinien, tout en se prétendant démocrate, et en manipulant des ligues d'humanistes socialistes. Pour affronter l'avenir, un peu compliqué avec la Crise, il faut beaucoup d'énergie. Gérard Collomb n'en a plus. Michel Havard est une force en marche que rien n'arrêtera plus. Les Lyonnais en ont assez de voir des électeurs de Droite voter à Gauche, par simple intérêt financier. Les Lyonnais ne supportent plus la calamiteuse image constituée par la bande des quatre : Gérard Collomb, Richard Brumm, Jean-Christophe Larose, et Roland Bernard. L'épouse de Mao avait fini par rendre des comptes, dans un retentissant procès. Il faudrait que ce quarteron de politicards, sans scrupules, répondent un jour à quelques nécessaires questions, au sujet du montage financier de certains projets à la Confluence, à Gerland, ou, dans le sixième arrondissement, autour de ce que fut la Clinique du Parc. On ne voit plus, dans les meetings de Michel Havard, cette cohorte d'apparatchiks qui faisait masse dans les réunions politiques de Michel Noir. L'assistance est régénérée. Emmanuel Hamelin démontre une consistance, une connaissance de ses dossiers, un ton déterminé qui nous rassurent. Emmanuel Gourgeon encore débutant témoigne de fortes convictions. Leur présence témoigne de la haute qualité des équipiers sélectionnés par Michel Havard. Une nouvelle génération d'électeurs venant de tous les quartiers de la ville, représentant toutes les conditions sociales, espère beaucoup de l'innovation et de la détermination de Michel Havard qui porte à Lyon de nombreux projets neufs. Elle croit que l'avenir peut-être une chance, ce qui est une des promesses de campagne de Michel Havard, qui se passionne pour le « Quotidien des Lyonnais ». Michel Havard incarne désormais la fin d'un concept, celui de la droite la plus « bête du monde ». Les lyonnais feraient une erreur monumentale en redonnant, pour six longues années, le pouvoir à des socialistes épuisés, sans projet qui tueraient les espérances de toutes les générations de la vaste cité. L'élection du 23 mars, à Lyon, porte un véritable enjeu national. Elle sera analysée par tous les observateurs, et tous les journalistes français et internationaux. Peut-être un destin fabuleux pour Michel Havard, auquel tous les espoirs seraient permis en cas de victoire le 30 mars. Lundi 24 Mars sera le jour de son anniversaire. Un très bon résultat, au premier tour des élections municipales, constituerait pour Michel Havard, le plus beau des cadeaux.