Pendant la « guerre », les emmerdements hollandisés continuent...

Lundi, 26 Janvier, 2015 - 18:13

Il faudrait, un André Malraux pour réécrire l'Espoir...

Sans programme, depuis le premier jour de son élection, si ce n'était de détruire et de nier tout ce que le gouvernement Sarkozy-Fillon avait fait, Hollande déclara la guerre aux islamistes intégristes. Sans penser qu'ils pouvaient riposter, et installer des représailles à l'intérieur de notre territoire. Le carnage est venu. 17 morts. 17 victimes de l'inconséquence de François Hollande. En effet, pourquoi, Bernard Cazeneuve fit-il lever la surveillance en place, devant le siège de Charlie Hebdo ? Nous n'aurons jamais de réponse. Hollande est le maître de l'esquive. Il sait nier et renvoyer les responsabilités sur ses prédécesseurs. Pendant que nous sommes en « guerre », les chauffeurs routiers poursuivent leur grève, les médecins et les urgentistes, aussi. Pendant, que nous sommes en « guerre », le nombre de chômeurs ne cessent d'augmenter, pendant que le Smic stagne pitoyablement, et, que les prix des produits comestibles sont dans tous les magasins, à la hausse. L'Euro devait nous enrichir, il nous a ruinés. Le peuple souffre. Le peuple est inquiet. Il ne sait plus. Dans la terreur, il plébiscite Hollande. En Grèce, le peuple dans la plus complète incohérence, donne le pouvoir absolu à l'extrême gauche alliée à un parti, aux valeurs « contestables ». Pendant ce temps, nous sommes en « guerre », et Hollande se mêlera à la foule des puissants, pour rendre les honneurs qu'ils méritent aux suppliciés des camps de concentration nazis. Nous sommes en « guerre ». Comment peut-on en être réjouis? Valls et Hollande aboient. Apartheid !... Non, jamais la France n'a installé sur son territoire, un apartheid. Des paroles de paix, aucune ne s'élève. Si, l'un des responsables de Mediapart, Edwin Plenel. Hollande tente d'élargir son pouvoir, avec le vote de la loi Macron. Les conseillers prud'hommes sont en grève sur l'ensemble du territoire. 15 000 personnes dans la rue qui attendent que l'Assemblée nationale entérine les prescriptions d'Emmanuel Macron. Tous les tribunaux prud'hommaux sont bloqués, la justice française est à genoux. Les journalistes, à 90% complices du pouvoir, évoquent à longueur de temps, le travail le dimanche. Mais, la menace essentielle est ailleurs. Elle est dans la modification macronienne de la justice prud'hommale. En France, la responsabilité de la presse, dans tous les media, est immense. Avez-vous lu, ou vu, une protestation d'un journaliste, lorsque Charlie Hebdo a choisi de provoquer en se vengeant, la colère des musulmans sur toute la planète. La réponse fut rapide. Des centaines de morts, et particulièrement, dans les pays qu'Hollande, et Le Drian prétendent avoir pacifiés, comme le Mali et la Centrafrique. Hollande n'a pas de programme. Si, il a deux objectifs : la guerre contre les terroristes, et la conférence sur l'écologie planétaire, à Paris, en décembre. A t'il prévu de lutter contre le chômage ? Non ! A t'il prévu de se battre contre la hausse des prix ? Non, au contraire, il l'encourage. A t'il prévu une augmentation sérieuse du Smic ? Non, surtout pas, par contre, il a décidé le maintien du revenu du livret A au taux de 1%. Nous sommes en « guerre ». Donc, nous sommes en danger. Après l'intervention de Sarkozy à la télévision, nous avons bien compris que les troupes policières et militaires recrutées ne seraient compétentes que dans deux ans, pour raison de formation. Je crains que dans ce domaine, comme dans tous les autres, Hollande ne fasse rien de significatif. Parce qu'il ne sait pas diriger un pays. Parce qu'il multiplie les erreurs qui rendent inefficace la moindre de ses décisions, depuis son arrivée à l'Elysée. Nous sommes en « guerre », et socialement, tout s'effondre autour de nous. Quand la communauté européenne reconnaitra-t-elle que les Français sont aussi malheureux que les Grecs, les Espagnols, les Portugais, les Irlandais, etc. Mario Draghi, directeur de la banque européenne, fait fonctionner à plein tirage la planche à billet, pour racheter de la dette publique. Cette décision qui permet à la Bourse de se maintenir à son plus haut niveau, depuis sept ans, n'inquiète pas les observateurs professionnels qui l'entérinent dans l'allégresse. Draghi est prêt à produire des billets autant que nécessaire. Des trilliards s'il le faut, pour consolider le fonctionnement d'une Europe, désormais plus en danger que jamais, après l'élection du nouveau premier ministre grec. Oui, l'instabilité est partout. La sérénité nulle part... Soyez vigilants !...