Pierre Moscovici, Christiane Taubira et Manuel Vals doivent démissionner…

Lundi, 15 Avril, 2013 - 09:22

Car, ils savaient…

Pour l’affaire Cahuzac. Interrogez n’importe qui dans la rue, et, vous serez convaincus que les Français ont une opinion bien déterminée. Inutile de les prendre un peu plus, pour des imbéciles. Ils ont compris. Comment croire que Pierre Moscovici, ministre de tutelle de Jérôme Cahuzac, ignorait sa situation. Alors, les socialistes, si procéduriers, si manipulateurs, n’auraient rien ressenti, rien entendu. Impossible, on se fout de nous. Et, Christiane Taubira, ministre de la Justice, aucun dossier ne lui serait parvenu ? Jamais ? Impossible, on se fout de nous. Et, Manuel Vals, ministre de l’Intérieur, aucun rapport n’aurait atteint sa « bling-bling » élégance à la Sarkozy ? Impossible, on se fout de nous. Le pouvoir socialiste vacille, mais il poursuit dans son action autocratique. Ainsi, la permanence de Cahuzac a été vidée. Par qui ? Que fait la police de Manuel Vals ? Pourquoi, la permanence de Jérôme Cahuzac, l’homme le plus épié de France, n’était-elle pas surveillée ? Imaginez le pays, si Jérôme Cahuzac parlait enfin en vérité. S’il révélait ce qu’il connaît à propos de François Hollande-Tartandouille et Jean-Marc Ayrault qui savaient, et même bien entendu, tiraient les pitoyables ficelles de ce qui devait inéluctablement devenir un scandale indélébile au front des staliniens qui nous gouvernent. Jérôme Cahuzac, massacré médiatiquement, par ceux qui le firent ministre, n’aurait-il d’autre alternative que le suicide ou l’exécution par des sbires étatiques ? Cahuzac est en danger. Comment Hollande peut-il désigner ainsi à la vindicte public, ce méprisable Cahuzac ? Comment, les socialistes peuvent-ils s’acharner sur cet homme solitaire ? Nous pouvons craindre le pire. Et le tricheur, Jean-François Copé, si mal à l’aise, puisque sa sœur est l’avocate d’une des parties. Tous pourris ! s’écrit le peuple français ! Hélas… A Droite, l’argent à toujours généré des escrocs. C’est un fait. Mais, la Gauche n’a pas le droit à ces fautes impardonnables. Trahir un mandat donné par le peuple est un manquement qui doit ne jamais être pardonné. On ne blanchit pas la fumisterie d’un Tapie ou d’un Guérini. L’affaire Cahuzac est loin d’être finie. Elle ne pourra l’être qu’avec les démissions de tous les politiques impliqués, du Président au plus petit maillon de la chaîne…