Puisseguin, François Hollande use du deuil des familles pour remonter dans les sondages…

Mercredi, 28 Octobre, 2015 - 11:46

Un terrible accident de car qui vient au mauvais moment, pour Hollande, et Macron…

Hollande et Macron voulaient vous faire voyager en cars. Quel progrès ! C’est pas cher, disaient-ils. La France, et les Français feront des économies ! Ces rois de la magouille qui viennent insolemment de manipuler les chiffres du chômage, pour septembre 2015, ne sont pas à une vilaine manœuvre près. A Puisseguin, nous avons tous remarqué, grâce aux études des « spécialistes » que les cars en service dans le parc routier français, étaient des machines à s’enflammer. Il y a du polystyrène, partout. Une horreur ! Au sol, sur les côtés, et surtout, au plafond. Combien va coûter, pour les propriétaires des régies de cars, une remise en complète conformité aux normes européennes ? Combien ? Cette dépense monumentale risquait de mettre en péril, le plan « car à gogo » d’Hollande et Macron. La France allait-elle devoir débarrasser du polystyrène, tous ses cars en fonctionnement ? Etions-nous, devant un problème semblable à celui du désamiantage des bâtiments publics, qui dure depuis des dizaines d’années. Hollande et Macron étaient aux abois. Que faire ? Il fallait un nouveau truquage. Une barre d’acier ferait-elle l’affaire ? Comme dans la catastrophe du train Paris-Limoges, l’éclisse fatale ? A Puisseguin, il s’agirait de la tringle mortifère. Laissée libre, elle aurait percé le réservoir de gasoil, et, provoqué l’incendie meurtrier en quelques secondes. Qui pourrait le croire ? Vous imaginez une tringle, une barre, n’importe quel objet métallique qui perce un réservoir. Mais, à quelle vitesse s’écoule le gasoil ? En quelques secondes, vider un réservoir ? Qui peut le croire ? Pas moi. Je conteste cette version. Je suis persuadé qu’elle fut imaginée, par quelques sbires de l’entourage de François Hollande, et d’Emmanuel Macron, pour ne pas affronter le véritable problème, et une vaste polémique. Celui qui était évoqué par la presse dans les premières heures du drame. L’embrasement en quelques secondes du polystyrène au sol, sur les parois, et surtout