Sarkozy, ce qu'il avait le droit de dire aux Français...

Vendredi, 21 Mars, 2014 - 08:35

Sarkozy, ce qu'il avait le devoir de dire aux Français...

Sarkozy est une victime. Sarkozy est la victime d'un acharnement assassin, mené par le président de la République en personne, François Hollande tartandouille. Le Parti Socialiste est coutumier de ces pratiques staliniennes, et Hollande tartandouille a toujours été à la manœuvre. Sarkozy a bien fait d'évoquer les méthodes de l'infâme Stasi. Contre toutes les apparences, Hollande tartandouille n'est pas un gentil, c'est un criminel politicien. Il est nourri par le désir de tuer son pire ennemi, celui qu'il a tellement envié, qu'il a mortellement jalousé, pendant le quinquennat de Sarkozy. Souvenez-vous comment en France, pays démocratique, les socialistes usèrent de procédés dignes d'Amin Dada, de Mao, des pires fascistes, pour casser le très talentueux Eric Woerth ? Souvenez-vous ? Rien ne lui fut épargné. Les pires humiliations, ils les a toutes encaissées avec un courage surhumain. Déjà Davet journaliste du Monde, prêt à tout, était dans le coup, comme les vendus au système Hollande tartandouille qui composent la rédaction de Médiapart. Je suis certain que les Françaises et les Français n'ont pas oublié. Il faut voir ce couillemir d'Harlem Désir, premier secrétaire du Parti Socialiste, s'exprimer à la télévision, comme s'il était premier ministre du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Quel cauchemar ! Alors, c'est vrai, le pays est gouverné par ce traître politicard qui abandonna ses amis de Touche pas à mon pote, pour venir tremper son pain, dans la bonne soupe des tricheurs socialistes ? C'est vrai ? Hollande tartandouille et ses amis sont en train de déshonorer l'esprit du socialisme, ce qu'il peut avoir de bon dans son concept. Sarkozy devait sortir de la réserve dans laquelle, il se cantonnait, depuis plus de deux ans, alors, qu'il était la cible des pires outrages. Hollande juge Sarkozy. On verra bien le jour où il aura quitté l'Elysée, ce qui ne tardera peut-être pas. Car, Hollande tartandouille, lui qui se permit de téléphoner à « Léonarda » la sans-papiers, sait tout. Il savait pour son ministre voyou, Jérôme Cacacahuzac. Il savait pour le comportement sexuel de Strauss-Kahn. Tout Paris savait! Le voici le scandale d'Etat ! Tartandouille a-t-il participé à des enfiladouillades ? Un jour, les Français et les Françaises connaîtront la vérité. Hollande tartandouille savait pour Julien Dray, et son médiocre commerce de montres de luxe. Il savait pour les écoutes de Sarkozy. Ne sommes-nous pas en plein scandale d'Etat ? Taubira savait. Elle ment, mais elle savait. Valls savait. Il ment, mais il savait. Ayrault savait. Il ment, mais il savait. Et pas, depuis ces derniers temps, depuis le premier jour. Tous, ils savaient, puisqu'ils étaient tous à la manœuvre. Il est ici, le scandale d'Etat. L'Opposition a raison de réclamer la démission de toutes ces dangereuses marionnettes. Les Français le savent, et ils ont compris que François Hollande tartandouille et ses amis les prennent pour des imbéciles. Sarkozy doit être félicité pour son courage face à la violence de François Hollande, l'insupportable président manipulateur. C'est lui qui est insupportable. Hollande tartandouille est irrécupérable dans le domaine de la délation. Un vieil adage ne dit-il pas : manipulateur un jour, manipulateur toujours. Comment, Hollande tartandouille a-t-il réussi à recevoir deux journalistes, impliqués dans l'affaire des écoutes contre Sarkozy, à la vue et à la barbe de tout un chacun. Nous vivons dans un pays de fous. Pour l'Ukraine, je crains le pire. L'éternel entartandouillé est capable d'envoyer un contingent de soldats français. Nous sommes dirigés par des dingues. Hollande tartandouille, la fraise des bois tueuse, eut tort de provoquer la colère du peuple, avec l'affaire des écoutes, en cette période électorale. Dimanche, je ne crois pas que la Nation ira vers l'abstention, au contraire, elle ira en masse dire sa souffrance devant l'incessante hausse des prix, des impôts, de toutes les taxes. Pour tout cela, Sarkozy a bien fait de sortir de son silence...