Stéphane Durand-Souffland est un souffleur souffreteux qui règle des comptes…

Vendredi, 8 Mars, 2019 - 11:03

Mais, par qui est-il payé ?...

Les travaux généreux qui permirent aussi les modifications des cuisines…

Stéphane Durand-soufflé n’a rien d’un dessert, il est trop aigri. Il n’y a pas un ramasse-miettes qui l’accepterait dans son tréfonds. Le voici qui attaque Paul Bocuse qui nous quitta, il y a un peu plus d’un an. Mais, ses arguments sont niais. A -t-il mangé une fois dans sa vie à l’Auberge de Collonges ? Non, le nouveau décor signé par Alain et Dominique Vavro, n’a rien de suranné, au contraire, il respecte l’esprit de Paul Bocuse, en apportant une très agréable lumière blanche. Dans le montant de la rénovation, précisons qu'il y a la rénovation des cuisines soumises comme on le sait au contrôle sanitaire. Ignorant, Stéphane pouffeur ignore que la majorité des peintures étaient déjà présentes, à part une huile de Théodore Lévigne, mais, le souffleur essoufflé ne connaît rien en peinture, il piétine plutôt dans les couloirs de la Justice. Cet ignare n’a pas de respect pour la sauce Choron, pourtant, si souvent présente au menu de nos bouchons lyonnais. Ce souffleur lit de travers, pénible pour un répétiteur, il devrait demander de l’aide à Me Dupont-Moretti, sérieux gastronome de réputation. Décidément, Stéphane le flingueur ignore tout des subtilités culinaires. Visiblement, il n’a pas goûté le velouté de potiron. Nous sommes toute une tablée : Mes Hervé et Laurent Banbanaste, Me Christian Morel, l’assureur Richard Rissoan, pour témoigner de la finesse de cette agape convaincante. Stéphane Durand-Souffland nous souffle dans les poupettes, car il exagère. Tout le monde connaît l’admirable soupe VGE, mise au point par Paul Bocuse, pour rendre hommage à l’un de nos plus estimables présidents de la République. Notre essoufflé souffleur préfère certainement les égarements oiseux de François Hollande, tricheur malheureusement encore impuni. Dites lui qu’il faut que la soupe soit chaude, pour que la truffe donne toutes ses saveurs, et, que le feuilletage enrichisse la composition. Bravo, Paul Bocuse, quelle maîtrise !... Stéphane Gluand-Souffleur est plus à l’aise avec les cartons d’archives et les dossiers moisis, ses attendus solennels sont des sentences sans appel. Son vocabulaire et son humour sont ceux d'un prétoire vermoulu. Il diffame lorsqu'il prétend que le meilleur cuisinier du monde était semblable à l'acteur Marlon Brando qui plongea sa famille et ses enfants dans le désespoir. Paul Bocuse, au contraire, vécut sa liberté sans que jamais aucun de ses proches n'ait eu à en souffrir. Il se souvient de la couleur du Minitel. Pauvre garçon, il n’y a plus que lui. Il y a bien longtemps que Paul Bocuse, aidé par Vincent Le Roux, avait découvert les charmes d’Internet. Stéphane Dupont-rasant est indigne de noter l’Auberge de Paul Bocuse qui heureusement, n’a pas changé. Le savoir-faire des chefs : Christophe Muller, Olivier Couvin et Gilles Reinhardt, témoigne d’une rigueur incontournable. Les disciples de Paul Bocuse sont nombreux : Christian Têtedoie, André Chouvin et Bernard Chemarin. Stéphane Machin Chose-Machin est-il employé par le Michelin qui désormais fait fuir les chefs, trop de contraintes pour de médiocres retombées ?... Paul Bocuse nous a quittés, il y a un peu plus d’un an, n’est-il pas trop tôt pour attenter à son souvenir ? Alors que chaque jour, une foule, parfois venue du reste du monde, se presse pour goûter ses plats prestigieux, souvent imités, jamais égalés.