Stupidement, Manuel Valls invoque un Apartheid…

Vendredi, 23 Janvier, 2015 - 08:35

Nous vivons des temps déraisonnables…

Valls est ridicule. Il dit, tout, n’importe quoi, et son contraire. Rendez vous compte. Un apartheid ? Valls est décidément un homme sans conscience, un aboyeur sans cervelle. La France est en feu. Alors, lui Manuel Valls, droit dans ses bottines de luxe, il jette de l’huile sur le feu. C’est idiot n’est-ce-pas ? Valls n’agit pas en premier ministre, il fait de la politique. Il applique le peu qu’il sait du métier de communicant. Valls ne croit en rien. Il n’a pas de conviction. Valls et Hollande sont des inconscients. La France est en danger. Il faudrait que des voix se dressent, pour apaiser les débats. Non ! Du feu ! De l’huile ! Et, des cris de guerre ! Voici le programme d’Hollande et consorts. Toujours prêts à dépenser l’argent qu’ils n’ont pas. Ils veulent tout changer. Huit jours avant le carnage de Charlie, Najat Vallaud-Belkacem déclarait qu’il n’était pas question de noter les élèves au mérite. Que les méthodes en cours seraient maintenues. Aujourd’hui, elle nous dit tout le contraire, avec le même sérieux, les mêmes convictions. Et Hollande, le pompier-pyromane, auquel, vous accordez la médaille du bon soldat. Pendant ce temps, la voix de gorge de Manuel Valls s’élève pour nous donner des leçons. Il est partout à la radio, à la télévision. Pourtant, les soldes sont un échec cuisant pour les commerçants de toutes activités, les chauffeurs routiers sont en grève, les médecins aussi, les avocats et les notaires préparent leur grande manifestation, et enfin, cette semaine, Sapin, Hollande et Valls viennent encore d’emprunter une quinzaine de milliards d’euros. Heureusement, des voix s’élèvent pour dénoncer l’énorme abus de confiance, mis en scène par Hollande et ses amis socialistes, depuis l’assassinat de nos 17 victimes. Sarkozy, pour une fois vient de démontrer sur France 2 qu’il était légitimement le représentant de l’opposition de Droite. A ce titre, et, comme ex-président de la République française n’avait-il pas le droit de figurer au premier rang du cortège au même plan que le président du Mali qu’Hollande avait convié en lui offrant son voyage ? Il faudrait une enquête sur ce voyage là ? Dans quelles conditions, eut-il lieu ? Qui a payé ? Nous voulons savoir. Amis la situation devient chaque jour de plus en plus complexe. Soyez vigilants….