Turquie, le président Erdogan triomphe, contre l'avis de la presse française...

Lundi, 2 Novembre, 2015 - 10:45

Le président Erdogan, inflige une sérieuse fessée aux journalistes français...

La presse française dans son immense majorité s'était engagée aux côtés du candidat kurde. Pourquoi ? Elle éprouve un pitoyable échec. Parce que pour elle, le président Erdogan est un horrible dictateur. Peut-être. Le peuple turc a choisi librement. Mais, il y a trop longtemps que les journalistes sortent de la réserve qui devrait être la leur, en toutes circonstances. Pourquoi, faire la publicité d'un Kurde ? Il y a des Kurdes et des Turcs sur notre territoire. L'influence de notre télévision n'a-t-elle pas suffit à les convaincre ? Les Kurdes, que François Hollande soutient en leur fournissant des armes, révèlent, depuis leur entrée en Irak, leur cruauté revancharde. Les journalistes, à l'exemple des gouvernements, comme celui de François Hollande, prennent l'habitude de s'ingérer dans les affaires des Etats, réputés pour leur indépendance. Que n'avons nous entendu sur toutes les chaînes de télévision, de la part de scribouilleurs incultes donneurs de leçons, à propos du futur résultat des élections législatives, en Turquie! Rien, ne fut épargné au président Erdogan. Un véritable lynchage médiatique, semblable à celui que subit quotidiennement, et injustement, le président syrien, Bachar-el-Assad. De quel droit ? Les téléspectateurs seront-ils encore longtemps les victimes, de ce qui est devenu un véritable système de désinformation ? Les journalistes ne sont plus indépendants. Ils expriment, servilement, la position politique du gouvernement. François Hollande est en guerre, contre le président Vladimir Poutine, au détriment de l'économie nationale. Alors, que fait la presse nationale ? Elle construit ses reportages insidieusement, comme dans l'affaire de l'avion abattu, au-dessus du Sinaï. Vladimir Poutine, contrairement à François Hollande, ne prend pas ses décisions, à la manière d'une fraise des bois. Comme, pour les impôts des retraités, que François Hollande vient d'exonérer, après les avoir accablés. Non ! Vladimir Poutine attend. Il étudie. Il réfléchit. La Russie est en guerre, contre les djihadistes, en Syrie, aux côtés de Bachar-el-Assad. Vladimir Poutine a le droit de prendre son temps, avant de reconnaître, ou pas, un attentat par représailles. Vladimir Poutine a raison de ne pas céder aux contraintes insidieuses de la presse. La presse française doit se délivrer de l'influence des partis politiques ! Pendant ce temps, François Hollande est encore en voyage, à vos frais, en Chine, dont une partie de la réussite dépend de son utilisation de charbon, un des pays les plus pollueurs de la planète. Christophe Barbier, dans l'Express fait un bon titre : Le début de la fin. Oui, François Hollande subira dans les mois qui viennent, deux échecs en même temps : les élections régionales, et, la Cop 21, dont tout le monde, en France, se fiche complètement. La véritable urgence, dans notre pays, ce sont les augmentations des prix, les diminutions des retraites, le chômage qui ne cesse de croître malgré les sinistres bidouillages de Michel Sapin et de Manuel Valls, les impôts qui écrasent tout un chacun, etc. François Hollande ne s'épargne aucun ridicule. Pour une fois, il est constant. Hollande déclenche une couillonnade chaque semaine. Ainsi, le fiasco de cette visite « inopinée » pour un café, chez Lucette. Aucune spontanéité, tout fut préparé, par l'Elysée qui fournissait les tasses, le café en thermos, et même, les fleurs, et surtout, les journalistes, qui après avoir salué l'initiative élyséenne, se décidèrent à dénoncer, ce qui n'est qu'une méprisable mascarade supplémentaire, dans le parcours de l'ignoble pingouin. Ah ! Il est moche, le machiavel « ensouillé », nommé, François Hollande...