Le Michelin, et son président pédant et péteux, Gwendal Poullenec, ne changeront rien à l’avenir de l’Auberge de Collonges !...

Lundi, 20 Janvier, 2020 - 18:10

Au contraire, cette volonté de nuire, renforce la combativité des chefs réunis autour de Françoise Bernachon-Bocuse, et son gendre, Vincent Leroux…

On savait que le nouveau président du Michelin, Gwendal Poullennec, seulement élu depuis septembre 2018, avait la volonté de s’attaquer, injustement, à la réputation de l’Auberge du Pont de Collonges et de Paul Bocuse, en lui retirant une étoile. Le critique gastronomique de Marianne, Périco Légasse, célèbre à juste titre, démontra en réagissant vivement à la télévision, à cette arrogance, qu’il était fidèle à l’esprit de la cuisine de Paul Bocuse, disparu le 20 janvier 2018. Périco Légasse affirma que le plat le plus sublime conçut par Paul Bocuse était le Filet de Sole des côtes normandes, Fernand Point. Nous sommes d'accord, mais il faut, pour êre complet ajouter le Loup en croûte sauce Choron, le Rouget barbet en écailles de pommes de terre croustillantes, la Fricassée de volaille de Bresse à la crème et aux morilles, la Pomme de riz de veau rôtie salsifis et châtaignes d'Ardèche confites, le Tournedos « Rossini » que j'eus la chance de savourer en tête à tête avec Paul Bocuse, et bien entendu, l'inoubliable Lièvre à la royale Antonin Carême, etc. J’ai déjeuné avec quelques amis, le 6 décembre dernier, et, nous pouvons attester du très haut niveau des prestations des équipes assemblées derrière Christophe Muller, Gilles Reinhardt, et Olivier Couvin. La jeunesse est solidaire avec ce trio exemplaire. Nombreux sont les apprentis des deux sexes pressés de révéler leurs talents, et la qualité de l’enseignement reçu des meilleurs maîtres possibles, formés par celui qui était reconnu et désigné, comme le meilleur cuisinier du monde, Paul Bocuse. Alain et Dominique Vavro, après avoir réussi la rénovation de l’accueil de l’Auberge du Pont de Collonges, sont engagés dans la restauration de la grande salle,située à l’étage. Persuadé de leur immense savoir faire, nous savons bien qu’ils enlumineront l’atmosphère de ce très haut lieu de la gastronomie, où, sont attendus des centaines de gastronomes, de toute la planète : européens, japonais, américains, chinois, anglais, etc. En effet, les cahiers de réservation sont pleins, réouverture le 24 janvier 2020. Il n’est pas besoin des recommandations du Michelin, pour que les gourmets savants, et tous les autres, choisissent en famille ou entre amis, cette destinée gourmande, heureusement, toujours sans mauvaises surprises. Gwendal Poullennec demeurera, dans l’histoire de la gastronomie, le pauvre couillon qui aura pris la décision d’ôter une étoile à ce lieu de mémoire et de patrimoine, plutôt que de lui offrir une place d’honneur inégalable dans ses colonnes, désormais contestables… Alain Vollerin