Nous étions heureux de nous retrouver autour du souvenir de Raymonde Bocuse…

Ils ont fait entrer la lumière partout ! Dans le respect de cette bonbonnière mythique, où, Paul Bocuse nous accueillait, posant à son avantage pour une clientèle passionnée, puis, Raymonde Bocuse toujours souriante venait nous saluer. Aujourd’hui, en cuisine, comme en salle, il y a plus de personnel, tout simplement parce qu’il y a plus de clients venus du monde entier. Vincent Leroux, directeur général de l’Auberge de Collonges, déclarait à juste titre : Nous n’avons jamais été aussi bons. Nous pouvons attester de la véracité de son affirmation. Nous comptions en nos rangs un authentique natif de Fleurie, Fabrice Sivignon, en l’honneur duquel, nous avons bu un Beaujolais de chez Dominique Piron qui avait une haute tenue en bouche. Cette année, le peintre, Gilles Pascal-Roux complétait notre réunion d’amis, autour de Richard Rissoan, assureur attentif et rassurant, Michel Régnier, pour quelques mois encore adjoint à la Culture de Vourles, et pour toujours, historien de l’art, et, un homme heureux, le véritable filleul de la Mère Brazier, Christian Morel,surnommé l’amiral depuis qu’il a transformé en un paquebot gastronomique majestueux, où, vous ne serez jamais déçus, l’historique restaurant animé par Léa Bidaut. Cette année, le chef, Christophe Muller, nous proposa une poularde en vessie, généreuse et goûteuse qui nous fit oublier l’absence de certains éléments du barreau lyonnais. L’âme exigeante de Paul Bocuse imprègne toujours chaque membre de la brigade de cuisiniers, tout comme l’ensemble du personnel de salle. Ici, le travail est une valeur essentielle !... Un souvenir joyeux qui s’ajoutera à tous les bons moments passés, dans cette demeure prestigieuse…