La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Additionne / Plon

Mercredi, 17 Août, 2022 - 09:18

"Comme tout le monde j’ai pu apprendre des autres"

Additionne ! Ce titre est venu parce qu’un jour le magnifique acteur Georges Wilson avait employé cette expression à l’intention du jeune Alexandre Brasseur, encore à ses débuts de comédien. Bien entendu, il est question d’Odette Joyeux la grand-mère d’Alexandre, en même temps que le fantôme de Pierre, exceptionnel comédien, et l’ombre de Claude qui vérifia qu’être un fils n’était pas un destin aisé. Vous connaissez peut-être Alexandre Brasseur, parce qu’il fur un personnage du Bureau des légendes et de Demain nous appartient. Ecrit avec le concours de Mathieu Souquière, essayiste et consultant. Voir sans être vu, Alexandre Brasseur, comédien et auteur, nous confie que ce fut longtemps sa signature. Bien entendu il vécut longtemps dans ce milieu où il devint "l’enfant du plateau", passant des journées entières sur les tournages de son père sans en perdre une miette, mais en veillant toujours à ne pas se faire remarquer. "On ne me voyait pas, mais moi je voyais tout". Il écrit aussi : "L’atmosphère des plateaux et des planches a été mon oxygène, si tôt et pendant si longtemps que je ne peux finalement imaginer respirer autrement." Il livre aussi cette autre confidence : "Quand je prends du recul, j’ai le sentiment non pas de faire ce métier depuis 25 ans mais de l’avoir en réalité toujours pratiqué, bien avant de monter moi-même sur les planches. Une vieille, très vieille histoire en somme." Lecture conseillée. Broché. 216 p. Format : 22,6 x 14 cm. 18€. Alain Vollerin