Adrien Borne, non, plutôt Adrien Borné...

Il toise, puis, il aboie, impitoyable, peu importe la qualité de son, ou, de ses interlocuteurs. Adrien Borne est un bavard conforme. Seule, sa virulence surprend, sinon, rien de saillant dans le contenu de ses propos. C'est un perroquet ordinaire. Adrien n'a qu'une mission, celle de dépasser les bornes. Et, il l'a rempli à la perfection. Il croit qu'il retient ainsi, l'attention des téléspectateurs. C'est faux ! Ils zappent. Adrien Borne applique les leçons de cette presse infâme qui continue à sévir, à nous mentir, à s'esbaudir dans ses affabulations. Pour elle, Donald Trump est un salaud. Le peuple américain un ramassis de couillons antidémocrates. Les voyous époux Clinton, impliqués dans des parties de baise à la Maison Blanche, et, dans des affaires illégales sont admirables. On croit rêver ! Les contre-vérités sont martelées à vos oreilles. La Droite est anéantie. Elle dispose de plus de cent sièges, à l'Assemblée Nationale. La presse aux ordres insiste : Jean-Luc Mélanchon représente l'opposition à lui seul. Elle balance au hasard. Il faut écouter les raffarinafes du vendu au pouvoir chinois. Jean-Claude Mailly diviseur syndical a réussi son soutien à Macron. C'est faux, la base refuse ses décisions. On nous balade. On creuse les sujets. Juppé est un esprit libre, alors, qu'il n' y a pas de pire ennemi de la Droite que celui qui fut le fusible du traître, Chirac, détourneur de fonds publics à la mairie de Paris. On se garde bien d'évoquer les proches élections sénatoriales qui verront la Droite renforcer son pouvoir au Sénat. Adrien Borne baigne dans ce marigot. Il est terne et translucide. Adrien Borne campe dans ses limites, au début de ses aptitudes à nuire, mais, dépendant de la volonté de ses sinistres « maîtres ».