Brake France tente pendant le Sirha, la transformation de ses surgelés en plats cuisinés « Maison »...

Dimanche, 27 Janvier, 2013 - 14:13

Cricri Margoul (Christophe Marguin) fait des disciples de la religion Brake France, ou la colique pour tous...

Avec la complicité de quelques gâte-sauce sans scrupules, comme : Richard Soibinet, John Roziak, Luca Sangiuliano, et Olivier Belval. Christophe Marguin, Joseph Viola, et Mathieu Viannay avaient ouvert le bal, en acceptant de porter l'insigne Brake France sur leurs toques, en échange de gros chèques. Un véritable sacrilège. Ces trois-là avaient vendu leurs âmes au diable. Ils font des émules. Le fric suscite des vocations de menteurs et de tricheurs. Brake France veut assimiler ses produits, dont on ne connaît pas toujours l'origine de fabrication, en plats cuisinés « Maison ». Un miracle. Mieux que la Sainte Vierge ou le Padre Pio. On disait que Talleyrand était une merde dans un bas de soi. La bouffe Brake France serait-elle de la bouse dans un sac plastique ? Les chefs dont il est question ici n'ont-ils plus de palais ? Ne font plus la différence, entre un insipide surgelé et un met composé et mitonné avec attention ? John Roziak délire devant son paquet plastique :  cette couenne que je vais percer pour y introduire l'ail frais qui, se retrouvant dans ce gras sous-cutané, protecteur de cette chair sublime et conducteur de ce condiment, donne à l'ensemble un goût d'exception pour une viande unique. » Y cause comme un intello le marmiton ? Un langage de chirurgien ou de boucher ? Ah, comme l'argent vous dévérouille bien la langue ! Le pire, c'est Olivier Belval qui déclare sans rire, à propos des noix de Saint-Jacques : un produit top qui ne rend pas l'eau ni à la décongélation, ni à la cuisson. Je les dore très rapidement. Leur chair ferme et savoureuse, permet des tartares et carpaccio au petit goût de noisette. Comment Jean-Luc Petitrenaud a-t-il pu faire de la publicité à un tel tripatouilleur, en l'accueillant dans son émission? L'attitude de ces inconscients dangereux est grave, car, depuis les premières interventions de Cricri Margoul et ses camarades Viola et Viannay, les camions de livraison de Brake France sont partout le matin dans la ville de Lyon. Toute la cité est polluée. Les clients mangent de la « Merde » » comme dirait Jean-Pierre Coffe. Il est peut-être trop tard. Le mal est irréversible. Seuls, les clients auront le dernier mot, en refusant cette mal-bouffe conditionnée, en choisissant des enseignes responsables, et il en existe, comme le Café des Fédérations ou Chez Hugon. Vive la cuisine Maison. Honte sur ceux qui flattent Brake France et ses profits faciles réalisés sur la santé des consommateurs. Cricri Margoul voudrait imposer Brake France, comme fournisseur de tous les bouchons lyonnais. Le voici son véritable projet. La qualité de la cuisine de bouchon face aux touristes, il s'en fout. Le label, il s'en fout. Ce qu'il veut, c'est toujours plus de chèques. Quelle ignominie, de le voir poser en marchand de nappes. Ce vice-président de la Chambre de Commerce de Lyon manquerait-il de dignité ? Non, je n'irai pas au Sirha. Cette foire à tout ne me concerne pas !... Sponsorisée par Brake France ce Salon est déshonoré, et Olivier Ginon son animateur avec lui. Jean-Jacques Billon qui fut chroniqueur au Journal Le Progrès apporte sa contribution. Le malheureux, il faut bien survivre. Seul le concours des Bocuse d'Or, et ceux de la fromagerie, de la boulangerie des écaillers et des poissonniers, etc, méritent notre intérêt. Le reste n'est qu'un méprisable « marchandising »...