Copé un pirannas forcené, toujours dans le flou…

Samedi, 24 Novembre, 2012 - 08:41

Copé la machine à perdre et à détruire…

Jean-François Copé n’a aucune conscience de ses responsabilités dans les remous qui secouent l’UMP. Et pourtant. Secrétaire général de l’organisation, il avait en charge l’organisation des élections. Quel fiasco ! Quelle déconvenue pour tout un peuple d’électeurs de Droite ! Trois questions posées ? Et pourquoi pas quatre ou cinq ? Trop peu de bureau de vote. On voyait François Fillon attendre au total plus d’une heure et demie. A qui la faute ? A Jean-François Copé. Les procurations surgissaient de partout, incontrôlables. Qui les autorisa ? Jean-François Copé, bien entendu. Qui décida de se proclamer élu avant la fin du dépouillement ? Jean-François Copé, encore et toujours. Jean-François Copé trop pressé d’enfiler le costume de président « présidentiable ». Mais, rien de moins certain. Car, l’ombre de Nicolas Sarkozy plane encore. A-t-il tiré les ficelles de la marionnette Copé ? Copé n’a pas besoin de Sarkozy pour se livrer à ses délires, à ses fantasmes électoraux. Quelle inconscience, chez Jean-François Copé, et devant les journalistes. «  Les chiens » comme les appelaient François Mitterrand. Copé abuse depuis des mois, de sa main mise sur l’appareil de l’UMP. François Fillon a réagi avec beaucoup de dignité, dans un contexte où les menaces de fraudes et de dictats proliféraient. Comment admettre qu’on ait oublié trois départements d’Outremer ? Comment Copé peut-il se proclamer vainqueur, alors qu’une telle erreur est démontrée ? Trop de magouilles tuent les magouilleurs. François Fillon eut raison d’appeler Alain Juppé à l’arbitrage d’une situation délétère virant à l’apocalypse. Jean-François Copé raisonne et agit comme un machiavel de banlieue. Il doit être dans tous les cas sanctionné. La carrière de Jean-François Copé est peut-être finie. Il doit payer les conséquences pour la Droite toute entière de ses ambitions, aussi incontrôlées que l’élection à la Présidence de L’UMP, dont il avait la totale responsabilité, devant le peuple des militants et des électeurs.