Edouard Philippe n'apporte pas d'espoir aux confinés désespérés...

Mardi, 28 Avril, 2020 - 18:18

Les menaces de Philippe et Macron n'affaiblissent pas l'épidémie de Coronavirus...

 A l'Assemblée nationale, Mélenchon attaqua frontalement Edouard Philippe enfermé derrière des grimaces pitoyables de déconfiture morale. Le spectacle offert par Philippe, et ses amis, Legendre, Ferrand et, consors désespère ceux qui font confiance à une France gouvernée, ce qui n'est, hélas, plus le cas, avec Philippe et Macron. Mélenchon, pour une fois, fit une analyse admirable de la stratégie infernale du couple Macron-Philippe. Celui-ci, maintient la date du 11 mai, pour le début du déconfinement, après avoir fourni des masques à l'ensemble de la population, et si, à la date du 7 mai, aucun mouvement perturbateur du déconfinement n'apparaît brutalement. Selon nous, comme en Suède, il faut laisser vivre la population, sans se soucier de l'évolution du virus qui finira par mourir de lui-même, comme l'affirme le professeur, Didier Raoult. En attendant, nous n'entendrons plus les pseudos experts en biologie, tenir des propos constitués d'affirmations, puis, de reniements. Mauvaises nouvelles pour les églises, les plages, et les restaurants qui resterons fermés portant aux limites de la faillite des milliers de patrons et d'employés de ces professions durement touchées. Enfin, nous n'aurons plus besoin d'attestation, ou presque. Edouard Philippe ironisa, sottement, sur l'action de tous ceux qui osent moquer son inquiétante indécision, partagée par son complice, le machiavélique, Macron. Non, le retour de l'épidémie n'est pas inévitable. Il s'agit d'installer une peur immense, alors, que les masques sont toujours absents de nos pharmacies. La France de Philippe et Macron n'est pas organisée pour réussir son déconfinement. L'opposition a refusé son soutien au terme d'un trop long débat sur les bancs de l'Assemblée. Plus que jamais, la question de la constitution d'un gouvernement d'union national occupe une place décisive dans l'avenir de notre démocratie.