France 2 est une usine à fabriquer des journalistes aux ordres...

Lundi, 27 Août, 2012 - 10:53

Non ! Ne me dites pas le nom de cet éphèbe inculte...

qui occupe nos écrans de télévision tout au long du mois d'août. Nous savons que pour remplir cette fonction, il fut obligé d'accepter d'être encarté. Car, pour jouer complètement ce rôle d'aboyeur de fausses nouvelles, il est indispensable de l'être. La liberté de la presse française à la télévision française est à ce prix-là. Dis-moi pour qui tu votes, et je te dirai où je vais te nommer. Dans son costume de bellâtre sommaire, cet être eu vite fait de se faire repérer, comme soutien de François Mollande. Comment ? Très simple. Voici un garçon qui frénétiquement proclame de sa voix monocorde les mêmes stupidités militantes à propos de ses adversaires politiques. Soit dit en passant, et vous en conviendrez, lorsque ce personnage profère régulièrement les mêmes couillonnades militantes, il sort de sa réserve de journaliste libre pour entrer dans la catégorie des exécutants de basses œuvres politichiennes. Alors, mon exemple ? A droite, se pose la question du renouvellement du secrétaire général de l'UMP. Quelques candidats sont déclarés dont Jean-François Copé et François Fillon. Le problème se discuterait à gauche, on parlerait de démocratie. En fait, au Parti Socialiste de la Démocratie, il n'y en a pas, puisque Martine Aubry va désigner autoritairement, et fidèlement à son caractère autocratique, son successeur. Mais, comme il est favorable à la gauche, que les Français croient à la discorde de la droite après le départ nécessaire du président Sarkozy, notre godillot cathodique insiste bêtement : «  la guerre à droite est déclarée » répète-t-il niaisement depuis quelques jours, aussi stupide que Anne-Claire Coudray, son clone féminin, et que Catherine Laborde et sa pseudo canicule. Dommage que les Français soient dupés par de telles caricatures de présentateurs de journaux télévisés. Vous dirent le nom, de ce tricheur nuisible ? Cherchez le vous-même. Il ne mérite pas que je lui fasse de la publicité.