François Hollande, et ses carambistouilles centrafricaines...

Lundi, 4 Mai, 2015 - 07:52

François Hollande n'a que deux politiques : le mépris et le mensonge...

François Hollande a, une fois encore, choisi le mensonge, dans son mode de relation aux Français et aux Françaises. Non seulement, il a engagé la France, en trahissant nos accords avec l'Europe, dans la guerre au Mali et en Centrafrique, mais en plus, il dissimule, depuis plus d'un an, d'ignobles viols d'enfants, commis par certains de nos soldats venus à l'origine, pour délivrer les populations locales démunies, des agressions jihadistes. A cause de François Hollande et de ses décisions tyranniques, la France est isolée, et sa gestion économique de la guerre a tourné à la catastrophe. Il a fallu réinjecter plus de 3 milliards d'euros, dans le budget des armées. Voici, l'usage stupide que François Hollande fait de vos impôts. François Hollande avait juré de dire la vérité, de ne pas ressembler à Nicolas Sarkozy qu'il salissait, sans scrupule. Au bout de trois ans de présidence, François Hollande a démontré qu'il était le plus menteur des chefs d'Etat. Comment, François Hollande a-t-il pu dissimuler ces ignobles viols d'enfants, pendant plus d'un an ? Pour cet acte déloyal, François Hollande doit démissionner. Jean-Yves Le Drian a maintenu le silence, sur ces abjections. Il réclame les aveux des soldats coupables. Trop tard. Un an trop tard. Jean-Yves Le Drian doit assumer ses déshonorantes dissimulations. Oui, Jean-Yves Le Drian doit démissionner, sans tarder. Pendant ce temps-là, le peuple souffre. Les salaires sont bloqués, et, en revanche, tous les prix augmentent, toutes les semaines. Un exemple. L'essence a retrouvé son niveau le plus haut : 1,48€. François Hollande et Michel Sapin se fichent de vous. L'euro devait nous enrichir, il provoque notre ruine... En tous cas, l'image de l'armée française est définitivement salie, par les mensonges de François Hollande. Puisque, il faut appliquer de très sévères sanctions, exerçons les d'abord, à l'encontre de François Hollande, et de Jean-Yves Le Drian, et, de ceux qui à la tête de l'Etat français étaient obligatoirement au courant de ces infamies : Manuel Valls, Premier ministre, et, Laurent Fabius, ministre du Commerce extérieur.