Marguerite Duras ? Saviez-vous qu'elle avait collaboré avec les nazis, dans Paris occupé ?...

Lundi, 11 Août, 2014 - 18:43

Marguerite Duras aurait cent ans, certains journaux publièrent des suppléments, jamais en revenant sur l'odieuse conduite de celle qui dans ses romans se cache plus qu'elle ne se révèle...

Marguerite Duras fut une romancière donneuse de leçons de bonne conduite. Marguerite Duras a pourtant dissimulé, pendant sa vie entière, son activité pendant la Seconde Guerre Mondiale, dans Paris occupé par l'armée allemande. Elle devint, rejetée, en 1949, par le Parti Communiste Français et pour se protéger, la plus abjecte menteuse de l'histoire de la littérature française. Ce que nous avons appris, nous l'avons lu en partie, dans l'admirable et courageuse biographie de Jean Vallier, intitulée : « C'était Marguerite Duras 1914-1996 ». Marguerite Duras dont le mari, Robert Anthelme fut le secrétaire particulier de Pierre Pucheu, ministre pétainiste, ne pouvait prétendre qu'elle ne savait pas. Dominique Lormier, nous dit, dans « Les crimes nazis lors de la Libération de la France » ouvrage publié en 2014 : « Le ministre de l'Intérieur Pierre Pucheu fonde dès 1941, les Groupes Mobiles de Réserve (GMR) qui participent à la lutte contre les maquis aux côtés de la Milice. » Marguerite Duras, née Marguerite Germaine Marie Donnadieu, le 4 avril 1914, était très au fait de la situation politique française. Car, Marguerite Duras avait contresigné le livre « L'Empire français » publié par Gallimard qu'elle avait sollicité, en 1941, pour qu'il édite son premier roman. Il refusera. Le roman sera édité chez Plon. Elle avait publié dans l'Illustration, le 11 mai 1940, dans un numéro spécial de l'Empire français dans la guerre, un texte révélateur de son état d'esprit « la méthode colonisatrice de la France par Mme M.Donnadieu ». Laure Adler, biographe de Duras qui eut le courage de dire son attitude traîtresse, lorsqu'elle accepta sous le nom de Mme Anthelme, de travailler, comme secrétaire de la Commission de contrôle du papier de Juillet 1942, jusqu'au début de l'année 1944, n'a pas intérêt à détruire totalement l'image de l'écrivain Marguerite Duras, comme le fait sans retenue un homme qu'elle méprisa, le romancier, Philippe Sollers. Pour Laure Adler, toujours à cours d'inspiration, Marguerite Duras est une mine qu'elle exploitera tout au long de sa vie, sur France Culture, et ailleurs. Et que dire, de cette étrange et très compromettante liaison que Mme Anthelme-Duras-Donnadieu entretenait avec Charles Delval, collaborateur incontestable, jusqu'en 1944. Aurait-elle couché avec ce sale type, pour favoriser la libération de son mari ? Quelle indignité ! Quel paquet de saletés ! J'ai honte, pour tous ceux qui couvrent encore les saloperies durassiennes. Pourquoi ne fut-elle pas inscrite sur la liste des auteurs frappés d'indignité, publiée par le Comité National des Ecrivains fondé par le Parti Communiste Français ? Pourquoi, Céline, Drieu la Rochelle, Montherlant, Giono, Brasillach, et pas Marguerite Duras ? Pourquoi ? Céline n'a jamais travaillé pour les Allemands. Marguerite Duras, oui ! Robert Anthelme, l'ami de François Mitterrand a collaboré avec un ministre vichyssois, Pierre Pucheu, engagé avec la milice, contre les maquis français. Que faire pour que la presse française actuelle inscrive à la Une de ses journaux truqueurs, les trahisons de Marguerite Duras, pour lesquelles, elle eut dû être jugée ? Comment, révéler au grand public, les ignominies durassiennes ? Nous avons appris la mort le 11 juillet de Yann Andrea, le compagnon-complice des dernières années de Marguerite Duras. Elle en avait fait la victime et l'expiateur de toutes ses autocratiques volontés, car, il y avait beaucoup de violence dans le comportement de Marguerite Duras. Yann Andréa s'était récemment opposé au fils de Marguerite Duras, Jean Mascolo. On le retrouva mort, dans l'appartement, où il vivait seul. On ne connaît pas les raisons de son décès. Un mystère de plus autour du destin, chargé de lourdes taches, de Marguerite Duras...