Pourquoi, je m'abstiendrai de voter le 7 mai 2017...

Mercredi, 26 Avril, 2017 - 17:50

Je ne peux soutenir les fascistes du Front national, pas plus, qu'un télévangéliste disciple du bipolaire élyséen, et de ses sbires forcenés...

Jean-Luc Mélenchon, la surprise cubano-vénézuélienne…

Il m'est impossible de juger, comme sérieuse, une situation politique, où les électeurs votèrent à plus de 19% pour un communiste, adepte des méthodes cubaines, et vénézuéliennes, à la solde de Pierre Laurent qui amena ses cars de militants, pour agiter leurs vilains chiffons rouges. Faut-il que les Français soient malheureux pour en arriver là. Les gens comme dit dans son abject rictus le sinistre Mélenchon ? Voter blanc est inutile. En France, on méprise ceux qui ferment leur gueule. Le vote blanc, soit disant démocratique, est ridiculisé. En aucun cas, je ne voterai pour Emmanuel Hollande produit d'une forfaiture pingouinesque. La présence au second tour de Marine Le Pen n'est pas un hasard, elle est le fruit de la politique de François Hollande, inspirée par celle de Mitterrand, l'éternel vichyste. Je refuse d'entériner les manœuvres du noir dément qui plongea la réputation de François Fillon, dans une opprobre injustifiée, dont il devra rendre compte, un jour. Comment, des êtres humains ouverts à l'autre, progressistes, peuvent-ils entériner des pratiques nées des pires magouilles ? La victoire du petit cousin de Boris Vian n'est pas acquise. Son score, même vainqueur, n'est pas glorieux ! Il révèle une France qui n'est plus coupée en deux, mais en quatre. Ce n'est pas mieux. J'ai honte, pour les boursificateurs opportunistes qui firent marcher la Bourse à la hausse. Je ne voterai pas, pour ne pas courir au devant de la victoire de la plus ignoble des merdouilles électorales, voulue par Hollande la limace belliqueuse, au bilan pourri, indéfendable. Les élections législatives seront l'ultime instant de vérité. Je ne crois pas à un raz-de-marée des utopistes macronistes. Je fais confiance à la réalité du terrain. A la présence d'un député sur son territoire, comme Philippe Cochet, dans le Rhône. Le danger fasciste n'est pas impossible. La responsabilité en incombe à la Gauche toute entière. Qu'elle prenne ses responsabilités, comme ceux, qui votèrent niaisement pour Mélenchon, ou pire encore, pour Dupont-Gnangnan, sous-marin de François Bayrou, comme Jean Lassalle, son ami d'hier et de toujours !... Le débat télévisé entre le braillard Macron et la brutale Marine Le Pen s'annonce comme un combat sanglant. Un spectacle à regarder attentivement !...