Quelle odieuse époque qui voit revenir les cupides serviteurs de François Hollande !

Vendredi, 28 Février, 2020 - 10:51

Tous les complices de Jérôme Cahuzac sont là...

 Des hommes et des femmes sans honneur, prêts à toutes les compromissions, comme François Hollande, lui-même, qui n'eut pas le courage de se représenter devant les électeurs, et qui, pourtant, se guignolise sur les plateaux médiatiques. Qui dira l'audace affligeante d'un Michel Sapin qui multiplia les emprunts creusant notre dette publique ? Ne vous souvenez-vous pas de Christine Taubira qui refusa stupidement de construire de nouvelles prisons ? Que dire du retour de Michèle Cotta, complice des initiatives socialistes, depuis l'époque de François Mitterrand. Heureusement, le temps efface certaines erreurs humaines. La mort de Michel Charasse ne peut absoudre l'erreur de Nicolas Sarkozy qui en fit un membre du Conseil constitutionnel. La disparition d'Hervé Bourges ravive de sinistres souvenirs de la main mise de François Mitterrand, à l'époque où les Français avaient oublié l'athlétique personnage qui sauta une haute haie pendant l'attentat, dit de l'Observatoire. Pauvre France, caricature de démocratie ! Quel cauchemar de voir réapparaître Marisol Touraine, ce qui ne nous console pas du retour de Pierre Moscovici, toujours aux aguets, incroyable candidat à la direction de la Cour des Comptes! Heureusement, Ségolène Royal ne parvient pas à revenir des Pôles ! Emmanuel Macron qui est cerné par les socialistes comme Nicole Belloubet est bien capable de nommer Moscovici, pourquoi pas, quand on est capable de claironner stupidement l'arrivée d'une pendémie. Pauvre imbécile. Bernard Cazeneuve, le mariole qui n'obtiendra plus jamais la confiance du peuple, fronce ses rares sourcils. Pouvez-vous me dire, comment Laurent Fabius parvint à la tête du Conseil Constitutionnel ? Quelle tristesse de revoir sur les écrans, Julien Dray, pitoyable marchand de montres. Tous ces socialistes avides méprisent la voix du peuple. Ils veulent, comme Olivier Faure parvenir au pouvoir suprême, alors, qu'ils ne représentent plus rien dans les sondages. Regardez l'exemple de Gérard Collomb qui sera battu à l'élection municipale de Lyon, au profit d'Etienne Blanc, qui a su cueillir ses soutiens sur le terrain, profitant de la confusion haineuse des faux-amis de l'ex-ministre de l'Intérieur. Le danger vient surtout des fascistes dissimulés dans le dos de Marine Le Pen. Qui ose inviter, Bruno Gollnisch à la télévision ? Amis, soyons vigilants !