Sinistre époque, où, 33 couillons bloquent l'Assemblée nationale !...

Mardi, 3 Mars, 2020 - 18:02

Pitoyable union de Mélenchon avec le parti communiste, et Marine Le Pen...

En France, la démocratie est morte. Voter ne veut plus rien dire, comme nous le démontrent, depuis plus de deux ans, les opposants à Emmanuel Macron. Mélenchon et tous ses amis, sont à l'honneur. Ils ne respectent pas les règles démocratiques. Ils sont sourds à la voix des urnes. La presse fait le jeu des plus violents contestaires du résultat du suffrage universel. Elle a fait la réputation des virulents gilets jaunes, briseurs de voitures, agresseurs des forces de l'ordre. Elle accorde des tribunes à la radio et à la télévision, à des êtres avides de pouvoir, comme tous les jeunes amis de Marine Le Pen qu'elle recruta dans les pires officines de l'extrême droite. Elle favorise les ringards, comme François Bayrou, Nicolas Dupont Aignan, Eric Ciotti, Thierry Mariani, Anne Hidalgo, Cédric Vilani, etc. La presse française a renoncé à toutes ses préventions morales. L'obstruction des 33 couillons, et leur dépôt de milliers d'amendements à la loi sur les retraites, nécessitait l'engagement du 49.3 par le premier ministre, Edouard Philippe. Mélenchon, allié des communistes est désormais incrédible. A l'heure, où ressurgissent les images des massacres communistes à Katyn, il est impossible de serrer la main d'un adepte des théories de Lénine et Staline, avec ou sans épidémie de Coronavirus. Et dire, que nous avons donné, pendant des années, la parole à Georges Marchais. J'ai honte pour Jean-Pierre Elkabbach. Qu'il ne revienne pas de sa retraite dorée ! Oui, la démocratie est morte, comme nous l'avons constaté, pendant les Césars, avec l'acharnement ridicule de l'impudique comédienne, Florence Foresti, contre le cinénaste talentueux, Roman Polanski, courageusement soutenu par Fanny Ardant. On ne peut encourager les jugements hâtifs, surtout féministes. Oui, le fascisme s'annonce. La menace est réelle. Trop de français ont oublié la faillite économique suscitée par les chemises brunes, les camps de concentration et d'extermination nazis, les goulags bolchéviques, etc. Français, votre courte mémoire nous fait peur, et nous fait craindre le pire. Certaines parties de notre pays, comme la ville de Lyon, sont des refuges pour étudiants extrémistes. L'incertitude est partout. La sérénité nulle part. Le communisme dans sa chute emporta tous les espoirs portés par des militants que le général de Gaulle méprisait profondément. Lisez ses mémoires d'espoir, chez Plon. Un film sort cette semaine. C'est un acte courageux, dont nous avions besoin, face à la montée de Marine Le Pen, qui pense encore que la retraite à soixante ans est une voie de notre avenir. Pauvre fille ! Amis, ouvrez les yeux, et, surtout, soyez vigilants !...