Vente Truphémus, Françoise Monnet fait marcher le journal Le Progrès, à reculons !...

Lundi, 17 Septembre, 2018 - 09:02

Le 22 septembre 2018 l'œuvre du peintre Jacques Truphémus sera bafouée !...

Françoise Monnet, avec les priseurs Bérard et consorts, méprise les volontés et l'œuvre de Jacques Truphémus, dans cette vente du 22 septembre 2018, salle Ravier, à Lyon, qui ridiculisera la cote d'un artiste dont la vigilance devait le protéger... L'attitude de Françoise Monnet me fait penser à une chanson. Françoise Monnet ment, Françoise Monnet ment... Françoise Monnet serait-elle la complice d'une malveillante opération financière ? Non, Françoise Monnet est simplement aux ordres. Servile, elle bafoue la liberté de la presse la plus élémentaire. Après, la réaction courageuse du journaliste Denis Lafay, dans son magazine Acteurs de l'économie, où, il dénonçait avec virulence la mascarade destructrice mise en place par les priseurs, Bérard et consorts, et, leur pseudo expert, Olivier Houg, il fallait une intervention musclée de la presse bourgeoise. Elle n'a pas tardé. Françoise Monnet se dévoua, sans nous étonner. Françoise Monnet a-t-elle compris qu'environ 140 œuvres sur 180 proposées à la vente, 140 pièces, environ ne sont pas signées, et parfois,inachevées ? Voici, la preuve que le scrupuleux, Jacques Truphémus ne voulait pas les vendre. Tout le monde sait, sauf, Françoise Monnet qui ne le connaissait pas, que Jacques Truphémus était très attaché à la protection de ses toiles, et dessins. Mal informée, comme d'habitude, Françoise Monnet n'hésite pas à dire de grosses bêtises sur l'opportunité de faire de bonnes affaires. Heureusement, bientôt, elle sera à la retraite. En achetant des toiles marquées par un tampon « atelier » inventé par les priseurs incompétents, eux-mêmes, les amateurs prendront des risques. La présidente de la Société de contrôle des ventes volontaires, à Paris, est prévenue. Il est possible que les acquéreurs soient transformés en receleurs, au terme de la procédure de contrôle qui peut avoir lieu avant, ou, après le jour de la vente. Pourquoi, ne pas avoir demandé au collectionneur, Laurent Colin, ami intime de Jacques Truphémus son avis éclairé ? En résumé, il faut savoir que Jacques Truphémus serait en désaccord avec l'organisation de cette vente, et, que les tampons sur des toiles inachevées, ne remplaceront jamais l'authentique signature de l'auteur. Nous nous battons pour l'honneur de Jacques Truphémus, pour sauver sa cote, pour maintenir les prix des artistes de l'école lyonnaise, dont l'existence est incontestable. Nous avons besoin de votre soutien !... Rejoignez-nous ! avollerin@orange.fr