Vincent Lindon, admirateur de Bayrou et de Chirac, pitrement orgueilleux sur France 2...

Mardi, 5 Août, 2014 - 11:25

Vincent Lindon, victime du miroir aux pirouettes de Laurent Delahousse...

Vincent Lindon n'a pas un comportement normal. Dans une société de dingues, qui pourrait le lui reprocher ? Mais, il existe des affabulateurs dont les mythomanies deviennent dangereuses. Vincent Lindon est un mythomane patenté. Il réécrit sottement l'Histoire. Ainsi, il admire Jacques Chirac, au sujet duquel, il colporte des ragots. Exemple : Jacques Chirac était le préféré des jeunes hommes politiques entourant le président Georges Pompidou. Faux. Celui, auquel Georges Pompidou fit confiance, jusqu'à son dernier jour, pour administrer sa charge, selon ses ordres, était Edouard Balladur. Comment, Vincent Lindon, qui se prétend si exigeant sur la vérité, sur la qualité de la parole, peut-il utiliser de tels arguments erronés, écrits entièrement par la famille, et les amis intéressés de Jacques Chirac, l'indéfendable coupable d'avoir permis à François Mitterrand d'accéder à la fonction de président de la République. Immense déchéance pour la Nation, pour les Français et les Françaises. Jacques Chirac donna, au plus truqueur des politicards franchouillards, la possibilité d'installer au pouvoir une clique de voyous, tripoteurs de délits d'initiés. Aurions-nous oublié le suicide d'un conseiller de Mitterrand, dans un bureau de l'Elysée ? Aurions-nous oublié le suicide de Pierre Bérégovoy ? Aurions-nous oublié que François Mitterrand, candidat à la francisque pétainiste, dirigea la France pendant douze ans, à cause de la haine inexpugnable de Jacques Chirac pour Valéry Giscard d'Estaing, personnalité tellement plus compétente que le bouffeur de pommes et de têtes de veau ? Comment, pourrions nous jamais pardonner à Jacques Chirac, cette odieuse responsabilité ? Et l'assassinat des leaders canaques, quelques semaines avant une échéance électorale décisive n'était-ce pas une dégradante folie de la part de Jacques Chirac et de ses imbéciles amis, Charles Pasqua et Bernard Pons. Comment, Vincent Lindon peut-il défendre d'aussi pitoyables causes sanguinaires ? Comment, Vincent Lindon peut-il se rendre complice de véritables assassins. Le déshonneur, comme règle de vie quotidienne, n'est-ce pas Jacques Chirac qui l'a institué ? Depuis, il ne cessa d'amplifier. Il est désormais pour Hollande tartandouille, pour Manuel Valsarsouille, pour Laurent Fabiusminus une odieuse vitamine. Depuis, les hommes politiques à gauche, et parfois à droite, se dopent à l'infamie, à l'ignoble délation. Nicolas Sarkozy n'échappe pas à cet immonde phénomène de mode. Vincent Lindon admire aussi Yves Montand... Et pourquoi pas ?... Vincent Lindon, zélateur de François Bayrou, est un être définitivement incrédible...