Vu à la télé, Bayrou Françoué, le traître bouffi d'orgueil...

Mardi, 9 Mai, 2017 - 10:08

Bayrou se voit en Premier ministre macronien !...

Portrait d'un traître, menteur et donneur de leçons…

Belle avancée vers la jeunesse ! Vous n'avez rien de mieux ? Cherchez bien au fond de la poubelle ! Dommage que Manu Macron nomme ses hommes de confiance enfouillant dans les immondices de l'Histoire. La victoire de Manu Macron apporte une légitimité odieuse à Ségolène Royal, la bonne à tout faire, du pingouin margoulin. Elle paraît au devant la scène, crispée, nerveuse, mais voulant paraître sereine. Mission impossible. Comme elle a vieilli. Son visage est ravagé par les rides, et le bleu éclaté de son vêtement (combien le prix du manteau) ne parvient pas à dissimuler sa puissante anxiété. Dame, des épreuves, elle en a traversé ! D'abord, abandonnée publiquement, puis, cocue offerte en pâture à Closer, puis, obligée de couvrir toutes les manœuvres ignominieuses de son bipolaire compagnon. Oh, l'outrecuidance absolu du sot Bayrou qui n'a pas changé, toujours aussi niais, depuis l'époque où les Guignols animaient sa médiocre marionnette. Répondant à François Baroin, esprit éduqué et cultivé, le plouc sinistre, à propos du rôle du Centre dans les futures législatives, eut ce mot de crétin naïf mais impardonnable, en se désignant : Le Centre, il est là ! Le Centre, il est là ! Alors, c'est vrai Bayrou ne sait pas encore qu'il ne représente plus rien. Même pas 1,5% que son complice Jean Lassalle a volé sur son ordre à la Droite républicaine. Bayrou et Lassalle deux vilains escrocs politicards! Heureusement, sans le soutien de la Droite, il ne seront pas élus, et leurs amis, non plus. Alain Juppé porte d'ailleurs, une très lourde responsabilité dans l'élection du fourbe Bayrou, à la mairie de Pau. Ah, elle est neuve l'équipe de Manu Macron ! Parmi les vieux canassons, adeptes de l'éternel retour et soutien compromettant de Manu Macron, Dominique Perben qui fut un concurrent maladroit de Gégé Collomb, pour la mairie de Lyon. Autre rencontre d'un type inavouable, celle de Bayrou la déroute, et, de Gégé Collomb. Avez-vous remarqué que face aux menaces d'attentats, Gégé Collomb ne sort plus sans son barbouze perso, son premier adjoint, Georges Képénékian, surnommé en terre lyonnaise « tais-toi, je vais sourire ». Il était à Paris, idéal dans le rôle du porte-parapluie. Les partis ont perdu toute leur puissance, le laxisme est partout, et, chacun se réclame du général de Gaulle. Même, l'inestimable Bruno Le Maire. Quelle incomparable marrade ! La politique aujourd'hui est ainsi. Ce sont les plus lâches, les plus vils, les plus arrivistes, comme Françoué Bayrou, qui distribuent les prix de vertu. Je suis désolé, mais, je ne crois pas que ce soit Manu Macron qui a déjà confirmé qu'il figurait en bonne place parmi les rois des menteurs, qui ramènera un peu de droiture, dans notre système politique. Comme, il est loin le temps, où, une voix emplie de rigueur et d'exigence, comme celle de l'écrivain, Georges Bernanos, pouvait s'élever au-dessus de la mêlée, pour décrire : Les Grands cimetières sous la Lune !...